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moment tendresse

Démarré par alsacienne, 15 Août 2005 à 19:26:41

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delice

 c'est vieux ce poéme ?

Pourquoi "séparés" s'écrit-il en un mot, alors que "tous ensemble"
s'écrit en deux mots séparés ?

alsacienne

 juste pour rire :)

bizzzzzzzz tianon


Mon âne, mon âne a bien mal à sa tête ;
Madame lui fait faire un bonnet pour sa fête.
Un bonnet pour sa fête
Et des souliers lilas, la la
Et des souliers lilas.

Mon âne, mon âne a bien mal aux oreilles ;
Madame lui fait faire un' par' de boucles d'oreilles.
Un' pair' de boucles d'oreilles,
Un bonnet pour sa fête,
Et des souliers lilas, la la
Et des souliers lilas.

Mon âne, mon âne a bien mal à ses yeux ;
Madame lui fait faire un' pair' de lunettes bleues.

Mon âne, mon âne a bien mal à son nez ;
Madame lui fait faire un joli cache-nez.

Mon âne, mon âne a mal à l'estomac ;
Madame lui fait faire une tasse de chocolat.
Celui qui se perd dans sa passion a moins perdu que celui qui a perdu sa passion.
J'ai peut-être pas la Taillefine, j'ai pas les bras Weigth Watcher, j'ai pas les cuisses Contrex, j'ai pas les fesses Spécial K mais j'ai le coeur gros comme un pot de Nutella :)

Marsu

 Il y a des jours où j'aimerais être une hirondelle
pour pouvoir ouvrir grand et battre des ailes
pour m'envoler dans le ciel
et trouver la vie encore plus belle.

Mais vu que je suis un humain
je dois vivre et penser au lendemain
prendre ma vie en main
pour tracer jour après jour mon chemin.

Parfois j'aimerais être une gazelle
pour pouvoir jouer à la marelle
passer mes journées à sauter de tout bord tout cotés
et quand je suis fatigué, me reposer sans rien penser.

Mais vu que je suis humain
je dois vivre et penser au lendemain
me battre jour après jour pour prouver mon amour
à tous ceux qui m'entourent dans la vie de tous les jours.

Quelquefois être une taupe serait drôle
rien faire et rien penser serait mon rôle
dormir et toujours dormir, sans rien me soucier
de ce qui se passe dans le monde entier.

Mais vu que je suis humain
je dois vivre et penser au lendemain
je dois très fort travailler
pour sous mon toit emmener quelque chose à manger
pour ne pas oublier mes enfants tant aimés
pour qu'ils puissent profiter de l'amour, l'affection
que je peux leur donner.

Et aussi quelquefois être un petit chien
un petit chien chez des gens âgés
là, je serais très bien
passer mes journées à me faire cajoler,
jouer pour m'évader
dans un lit douillet me reposer,
me faire servir sans jamais rien dire
de japper, très fort japper
pour prévenir l'arrivée de mauvais étrangers
et par la suite me faire récompenser.

Mais vu que je suis humain
je dois vivre et penser au lendemain.

texte de : marie-josée

Marsu

  Les trois vieillards

    Un jour, une femme sort de sa maison et voit trois vieillards avec de longues barbes blanches, assis devant chez elle. Elle ne les reconnaît pas. Elle leur dit :
    - " Je ne pense pas que je vous connaisse, mais vous devez avoir faim. S'il vous plaît, entrez et je vous donnerai quelque chose à manger. "
    - " Est-ce que l'homme de la maison est là ? " ont-ils demandé.
    - " Non, il est sorti ", leur répondit-elle.
    - " Alors nous ne pouvons pas entrer " ont-ils répondu.

    En soirée lorsque son mari arrive à la maison, elle lui dit ce qui s'était passé.
    - " Va leur dire que je suis à la maison et invite-les à entrer ! " dit-il à sa femme.

    La femme sort et invite les hommes à entrer dans la maison.
    - " Nous n'entrons jamais ensemble dans une maison " ont-ils répondu.
    - " Et pourquoi ? " a t-elle voulu savoir.

    Un des vieillards lui expliqua :
    - " Son nom est RICHESSE, dit-il en indiquant un de ses amis et, en indiquant l'autre," lui c'est SUCCÈS et je suis AMOUR. Il a ajouté :
    - " Retourne à la maison et discute avec ton mari pour savoir lequel d'entre nous vous voulez dans votre maison. "

    La femme retourne à la maison et dit à son mari ce qui avait été dit. Son mari était ravi.
    - " Comme c'est agréable ! " dit-il.  Puisque c'est le cas, nous allons inviter RICHESSE."

    Sa femme n'était pas d'accord :
    - " Pourquoi n'inviterions-nous pas SUCCÈS ?  "

    Leur belle-fille, qui était dans une autre pièce, entendit leur conversation. Elle sauta sur l'occasion pour faire sa propre suggestion :
    - " Ne serait-il pas mieux d'inviter AMOUR ?  La maison sera alors remplie d'amour " !
    - " Tenons compte du conseil de notre belle-fille, dit le mari à sa femme. Sors et propose à AMOUR d'être notre invité. "

    La femme sort et demande aux trois vieillards :
    -  " Lequel d'entre vous est AMOUR ? S'il vous plaît, entrez et sois notre invité. "

    AMOUR se lève et commença à marcher vers la maison.  Les deux autres se lèvent aussi et le suivent. Etonnée, la dame demande à RICHESSE et SUCCÈS :
    -  " J'ai seulement invité AMOUR. Pourquoi venez-vous aussi ? "

    Les vieillards lui répondirent ensemble :
    -  " Si vous aviez invité RICHESSE ou SUCCÈS, les deux autres d'entre nous serions restés dehors. Mais puisque vous avez invité AMOUR, partout où il va nous allons avec lui puisque partout où il y a de l'amour, il y a aussi de la richesse et du succès." !!!

Marsu.

Marsu

  Renseignement s.v.p. !  
source inconnue

Lorsque j'étais très jeune, mon père a eu l'un des premiers téléphones dans notre voisinage. Je me rappelle très bien la vieille boîte en bois, bien polie fixée au mur et le petit récepteur noir, bien lustré, accroché sur son côté.

J'étais trop petit pour atteindre le téléphone, mais j'étais habitué à écouter avec fascination ma mère lui parler. J'ai, par la suite découvert qu'en quelque part, dans ce merveilleux appareil, vivait une personne fantastique - son nom était "Renseignement SVP" et il n'y avait rien qu'elle ne savait pas. "Renseignement SVP" pouvait fournir le numéro de n'importe qui en plus de l'heure exacte.

Ma première expérience personnelle avec ce "génie dans une bouteille" s'est produite un jour où ma mère était partie chez une voisine. Je m'amusais au sous-sol et, je me suis donné un violent coup de marteau sur un doigt. La douleur était terrible, mais il ne semblait pas y avoir de raisons pour que je crie. J'étais seul et personne ne pourrait m'entendre et me réconforter.

Je faisais les cent pas autour de la maison, en suçant mon doigt pour finalement arriver devant l'escalier. Le téléphone !!! Rapidement, j'ai couru chercher le petit tabouret dans la cuisine et je l'ai traîné jusque devant le téléphone. Je suis monté dessus, j'ai décroché le combiné et l'ai placé contre mon oreille. "Renseignement SVP" dis-je dans le microphone, juste au-dessus de ma tête.

Un click ou deux et j'entends une petite voix claire me dire "Renseignement".

Je dis alors, "Je me suis fait mal au doigt", "Est-ce que tu saignes ?" m'a demandé la voix. Je lui réponds "Non", "je me suis frappé le doigt avec un marteau et ça fait très mal". Elle me demande alors " Peux-tu ouvrir la boîte à glace ?" Je lui répondis que oui je pouvais. "Alors, prend un petit morceau de glace et pose le sur ton doigt" me dit-elle.

Après cette expérience, j'ai appelé "Renseignement SVP" pour n'importe quoi. Je lui ai demandé de l'aide pour ma géographie et elle m'a dit où se trouvait Montréal. Elle m'a aidé aussi avec mes mathématiques. Elle m'a dit que le petit écureuil, que j'avais trouvé dans le parc, la journée précédente, devait manger des fruits et des noix.

Un peu plus tard, mon petit canari est mort. J'ai donc appelé "Renseignement SVP" et lui ai raconté ma triste histoire. Elle m'a écouté attentivement et m'a dit les choses usuelles qu'un adulte dit pour consoler un enfant, mais j'étais inconsolable. Je lui ai demandé "Pourquoi les oiseaux chantent si merveilleusement et procurent tellement de joie aux familles, seulement pour finir comme un tas de plumes dans le fond d'une cage ?"

Elle a probablement ressenti mon profond désarroi et me dit alors, d'une voix si calme "Paul, rappelle-toi toujours qu'il existe d'autres mondes où on peut chanter". D'une certaine façon, je me sentais mieux. Une autre fois que j'utilisais le téléphone : "Renseignement SVP".  "Renseignement" me répondait la voix, maintenant devenue si familière. Je lui demande alors, "Comment épelez-vous le mot réparation ?".

Tout ça se passait dans la ville de Québec. Alors que j'avais 9 ans, nous sommes déménagés à l'autre bout de la province, à Baie-Comeau. Je m'ennuyais terriblement de mon amie. "Renseignement SVP" appartenait à cette vieille boîte en bois de notre maison familiale, et, curieusement, je n'ai jamais songé à utiliser le nouvel appareil téléphonique étincelant, posé sur une table, dans le corridor, près de l'entrée.

Alors que je me dirigeais vers l'adolescence, les souvenirs de ces conversations de mon enfance ne m'ont jamais quitté. Souvent, lors des moments de doute et de difficultés, je me rappelais ce doux sentiment de sécurité que j'avais à cette époque. J'appréciais maintenant, la patience, la compréhension et la gentillesse qu'elle a eue à consacrer de son temps pour un petit garçon.

Quelques années plus tard, alors que je me dirigeais au Collège, à Montréal, mon avion devait faire une escale à Québec. J'avais donc près d'une demi-heure entre le transfert d'avion. J'ai donc passé 15 minutes au téléphone avec ma soeur, qui vit toujours à Québec. Ensuite, sans penser vraiment à ce que je faisais, j'ai composé le "0" et dit "Renseignement SVP". Miraculeusement, j'entendis alors cette même petite voix claire que je connaissait si bien, "Renseignement".

Je n'avais rien prévu de tout ça, mais je m'entendis lui dire, "Pouvez-vous m'aider à épeler le mot "réparation" ?". Il y a eu un long moment de silence. Ensuite, j'entendis une voix si douce me répondre : "Je suppose que ton doigt doit être guéri maintenant. " Je me mis à rire et lui dit "C'est donc toujours vous". Je lui dit " Je me demande si vous avez la moindre idée comme vous étiez importante pour moi pendant toutes ces années". "Je me demande" dit-elle, "si tu sais combien tes appels étaient importants pour moi. Je n'ai jamais eu d'enfant et j'étais toujours impatiente de recevoir tes appels". Je lui ai dit comment, si souvent, j'ai pensé à elle au cours de ces dernières années et je lui ai demandé si je pourrais la rappeler, lorsque je reviendrais visiter ma soeur. "Je t'en prie, tu n'auras qu'à demander Sally" me répondit-elle.

Trois mois plus tard, alors que j'étais de nouveau à Québec. Une voix différente me répondit "Renseignement". J'ai donc demandé à parler à Sally. "Êtes-vous un ami ?" me demanda la voix inconnue. Je lui répondis "Oui, un vieil ami". J'entendis la voix me dire "Je suis désolé d'avoir à vous dire ça, Sally ne travaillait plus qu'à temps partiel ces dernières années parce qu'elle était très malade. Elle est morte il y a cinq semaines déjà". Avant même que je n'ai le temps de raccrocher, elle me dit "Attendez une minute. M'avez-vous dit que votre nom était Paul? " Je répondis "Oui". "Et bien, Sally a laissé un message pour vous. Elle l'a écrit, au cas où vous appelleriez. Laissez-moi vous le lire". Ce message disait "Dites lui que je crois toujours qu'il y a d'autres mondes où on peut chanter. Il saura ce que je veux dire". Je lui dis donc merci et raccrochai. Je savais ce que Sally voulait dire.

Ne sous-estimez jamais l'influence que vous pouvez avoir sur les autres.

 La vie de qui avez-vous touché aujourd'hui ?

Marsu.


Modifié par marsu le 11/09/2005 16:19:20

Clyde

La carotte, l'oeuf et le café. (source inconnue)


Vous ne regarderez plus jamais une tasse de café de la même façon.

Une jeune femme va chez sa mère et lui dit que sa vie est tellement difficile qu'elle ne sait pas si elle peut continuer. Elle veut abandonner, elle est fatiguée de se battre tout le temps. Il semble qu'aussitôt qu'un problème est réglé, un autre apparaît.

Sa mère l'amena dans la cuisine. Elle remplit trois chaudrons d'eau et les place chacun sur la cuisinière à feu élevé. Bientôt, l'eau commence à bouillir.

Dans le premier chaudron, elle place des carottes, dans le deuxième, elle met des oeufs et dans le troisième, elle met des grains de café moulus. Elle les laisse bouillir sur le feu sans dire un mot. Après 20 minutes, elle retourne à la cuisinière. Elle sort les carottes et les place dans un bol. Elle sort les oeufs et les place dans un bol. Puis, elle verse le café dans une carafe.

Se tournant vers sa fille, elle dit : "Dis-moi, que vois-tu?"

"Des carottes, des oeufs et du café", répondit sa fille.

La femme l'amena plus près et lui demanda de toucher les carottes. La fille leur toucha et nota qu'elles étaient toutes molles et souples. La mère lui demanda alors de prendre un oeuf et de le briser. La fille enleva la coquille d'un oeuf et observa qu'il était cuit dur. Finalement, la mère lui demande de goûter au café. La fille sourit comme elle goûtait son arôme riche.

La fille demanda alors, "Qu'est-ce que ça veut dire maman?"
Sa mère lui expliqua que chaque objet avait fait face à la même eau bouillante, mais que chacun avait réagit différemment.

La carotte y est entrée forte, dure et solide. Mais après être passée dans l'eau bouillante, elle a ramolli et est devenue faible.

L'oeuf était fragile avec l'intérieur fluide. Mais après être passé dans l'eau bouillante, son intérieur est devenu dur.

Quant aux grains de café, eux, ont réagi de façon unique. Après avoir été dans l'eau bouillante, ils ont changé l'eau.

"Lequel es-tu?", demanda la mère à sa fille. "Lorsque l'adversité frappe à ta porte, comment réponds-tu? Es-tu une carotte, un oeuf ou un grain de café?"

Penses-y?

Suis-je la carotte qui semble forte, mais qui dans la douleur et l'adversité devient molle et perd sa force?

Suis-je un oeuf qui commence avec un coeur malléable, mais change avec les problèmes? Ai-je un esprit fluide qui devient dur et inflexible dans la douleur?
Est-ce que ma coquille ne change pas, mais mon intérieur devient encore plus dur?

Ou suis-je comme un grain de café? Le grain change l'eau, il change la source de sa douleur. Lorsque l'eau devient chaude, il relâche sa fragrance et sa saveur. Si tu es comme un grain de café, tu deviens meilleure et change la situation autour de toi lorsque les choses en sont à leur pire.

Comment faites-vous face à l'adversité? Comme une carotte, un oeuf ou un grain de café?

:)

 A tous ceux qui écrivent à ce sujet initié par alsacienne je dis merci...Que tous ces textes sont beaux... Et comme tous nous devrions nous en imprégner... A chaque fois que ce sujet remonte c'est un moment de pure émotion que de l'ouvrir et le lire... c'est doux, frais, et surtout empli d'amour... à lire et relire voire à apprendre par coeur... Merci !...

petitanon

 alsa t'as fini de nous faire   pleurer

petitanon

 alsa t'as fini de nous faire   pleurer

alsacienne

 j'ai rien fait moi ::((((((
Celui qui se perd dans sa passion a moins perdu que celui qui a perdu sa passion.
J'ai peut-être pas la Taillefine, j'ai pas les bras Weigth Watcher, j'ai pas les cuisses Contrex, j'ai pas les fesses Spécial K mais j'ai le coeur gros comme un pot de Nutella :)

cerise64

 Un jeune couple venait de déménager dans une nouvelle ville .
A peine installés; ils voulurent aller visiter leur quartier pour connaitre leurs nouveaux voisins .

 Avisant un vieux monsieur paisiblement assis au soleil  sur le perron de sa maison, lesjeunes mariés s'approchèrent pour lui demander :
- "Bonjour, cher nouveau voisin, dites nous comment sont les gens dans cette ville ?"
- "Comment étaient-ils dans la ville d'où vous venez ?" demanda le vieux monsieur .
 Mari et femme tombère d'accord pour répondre :
-"Ma foi, ils étaient charmants, amicaux et accueillants, c'est pourquoi nous sommes inquiets de ce que nous trouverons ici ..."
"Oh, dit le vieux monsieur, ne vous inquiétez pas, vous les trouverz de même ici !"
 Le jeune couple partit donc rassuré .

 Quelques temps plus tard, un autre jeune ménage vint s'installer dans le voisinage .
 Eux aussi eurent le désir de connaitre les gens du quartier ; ils firent donc un tour pour trouver leurs nouveaux voisins .
 Avisant un vieux monsieur paisiblement assis à l'ombre devant sa porte, les jeunes mariés s'approchèrent de lui pour lui demander :
-" Dites nous, mon brave monsieur, comment sont les gens dans cette ville ?"
-"Comment donc étaient-ils dans la ville d'où vous venez ?" demanda le vieux monsieur .
  Les deux étaint d'accord et répondirent au viel homme :
-"Hé bien, ils étaient distants et vraiment pas hospitaliers, mais surtout très cancaniers, c'est pourquoi nous avons déménagé et sommes anxieux de savoir comment sont les gens ici !"
-"Hélas, répondit le vieux monsieur, j'ai bien peur que vous ne les trouviez de même dans cette ville-ci ..."
 
 Un sage, ce vieil homme, n'est ce pas...Le premier étalon auquel nous évaluons l'autre n'est-il pas fait à notre propre mesure ???

Marsu

  C'est l'histoire de deux amis qui marchaient dans le désert.

A un moment, ils se disputèrent et l'un des deux donna une gifle à
l'autre.

Le dernier, endolori mais sans rien dire, écrivit dans le sable :
"Aujourd'hui mon meilleur ami m'a donné une gifle".

Ils continuèrent à marcher puis trouvèrent un oasis, dans lequel ils
décidèrent de se baigner.

Mais celui qui avait été giflé manqua de se noyer et son ami le sauva.

Quand il se fut repris, il écrivit sur une pierre :
"Aujourd'hui mon meilleur ami m'a sauvé la vie".

Celui qui avait donné la gifle et avait sauvé son ami lui demanda
"Quand je t'ai blessé tu as écrit sur le sable, et maintenant tu as écrit sur la pierre. Pourquoi?

 L'autre ami répondit: "Quand quelqu'un nous blesse, nous devons
l'écrire dans le sable, où les vents du pardon peuvent l'effacer.

Mais quand quelqu'un fait quelque chose de bien pour nous, nous devons le graver dans la pierre, où aucun vent ne peut l'effacer".

Apprends à écrire tes blessures dans le sable et à graver tes joies dans
la pierre.

Marsu.

Marsu

  Les 7 merveilles du monde

auteur inconnu

Un professeur demanda à un groupe d'étudiants:

"Faites-moi une liste de ce que vous considérez être les
7 merveilles du monde actuel."

 Malgré quelques désaccords, la majorité d'entre eux répondirent:

 1 - Les grandes pyramides d'Égypte

 2 - Le Taj Mahal

 3 - Le Grand Canyon

 4 - Le Canal de Panama

 5 - L'Empire State building

 6 - La Basilique St Pierre

 7 - La grande muraille de Chine

 Alors que le professeur ramassait les réponses, elle se rendit compte qu'une élève n'avait pas encore remis sa feuille. Elle lui demanda si elle éprouvait de la difficulté à terminer sa liste.

 L'élève lui répondit : "Oui, un peu. Je n'arrive pas à me décider car il y en a tellement."

 Le professeur lui répondit : "Hé bien, dis-nous ce que tu as trouvé et peut-être que nous pourrons t'aider."

 La jeune fille hésita, puis commença sa lecture:

 "Je crois que les 7 merveilles du monde sont:

 1 - Le toucher

 2 - Le goût

 3 - La vue

 4 - L'ouïe

 elle hésita un peu, puis ajouta . . .

 5 - Les sentiments

 6 - Le rire

 7 - L'amour "

 On aurait pu entendre une épingle tomber tellement le silence dans la classe était grand.

 Toutes ces choses que nous ne remarquons plus tellement elles sont "simples et ordinaires" sont en réalité, des merveilles.

 
 Souvenez-vous que les choses les plus précieuses de la vie
ne peuvent s'acheter.

Marsu.



Modifié par marsu le 24/09/2005 09:04:04

Marsu

  LE  CADEAU

source : auteur inconnu


Il y a de cela plusieurs années, un père punit sa fille de trois ans pour avoir inutilement dépensé un rouleau de papier doré.

L'argent se faisait rare et il ne put supporter que la fillette
utilise le papier pour décorer une boîte à cadeau pour occuper le dessous de l'arbre de Noël.

Le lendemain matin, la petite enfant apporta une boite à son père en lui disant:
C'est pour toi papa!. Embarrassé, son père regretta sa trop vive réaction.

Toutefois, elle se raviva et ne fit qu'empirer quand il découvrit que la boîte était vide.
Il cria alors à sa fille "Ne sais-tu pas qu'en offrant un paquet-cadeau, il doit y avoir quelque chose dans la boîte?."

La fillette regarda son père les yeux plein d'eau et lui dit:
"Mais papa, la boîte n'est pas vide, je l'ai remplie de baisers, juste pour toi!!!"

Le père était chaviré. Il enlaça sa fille, la priant de lui pardonner sa réaction".

Peu de temps après, un accident vint faucher la fillette.
Le père garda longtemps la boîte, tout près de son lit.

À chaque fois que le découragement l'assaillait, il prenait la boîte, en tirant un baiser imaginaire et se rappelait l'amour que l'enfant y avait mis.

Au fond, cette fable nous rappelle qu'il est donné à chacun de nous, comme humain, de disposer d'une telle boîte dorée,
remplie d'amour inconditionnel et de baisers de nos enfant,
de nos ami(e)s,ou de notre famille .

Existe-t-il de plus grand cadeau?

Marsu.



Modifié par marsu le 24/09/2005 09:20:58

marmiton59

 ah ben c'est malin marsu! ça y est je pleure!