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je n'ai rien à proposer, je fais juste remonter le post

l'espèce de plâtrée infâme et fumante ne serait quand même pas des yeux? ça m'arrangerait, ça pourrait faire "dieu dispose" mais ça me semble un peu gore pour l'époque

et c'est reparti
défrichage:
..........mais il est vrai...............dispose.........

c'est donc l'air que la servitude nous pompe

on ne sait plus quoi proposer. 
en vrac:
l'exercice, l'appât,l'arrêt,l'abandon,........
je chercherai jusques au matin hi hi

bvu diamino
pour le début je verrais bien quelque chose du genre "l'accablement" à cause du paquet de la que le pauvre serveur empressé doit porter sur ses épaules.(mais je reste dans un conditionnel prudent )

l'excès de la servitude est mortel??
ou bien l'abus de.....
quant à la fin... que dire...
ce cep me tracasse. faut il le décoder "scion"? (ça pourrait faire la fin d'un mot en "tion")

l'élan?

je ne vois vraiment pas où ce rébus veut en venir. j'ai une proposition pour la fin mais sans sens aucun.

?'? de la servitude est mortel pour nous
                                      (pour nu avec l'erreur phonétique du dernier mot, mais je reste dubitative)

et le "l' "au début, pas bon?

enfin
ça y est je vois où s'accroche le d de servitude . faut y être bête de ne pas y avoir pensé plus tôt
?'?? la servitude est mortel??
(la sert vite u d mord tell)

pour le début: l'empressement de la servitude?

mais tu ne nous aides en rien, tu nous emmêles tout.
petite vérification: le "la" donné en début par diamino précède-t-il le mot servitude?
à la proposition "la servitude", Lon répond "servitude est bon le reste non".
je crois que c'est une phrase beaucoup plus longue qu'elle n'en a l'air.

du lierre?
la nature des sentiments?
ben je crois quil faut laisser décanter, retour à la case départ

ben le problème c'est que tu as deux fois [d]dans la servitude des jeunes.
d'où sors-tu le deuxième?
mais ton idée de la question me paraît être une piste à creuser:

la servitude....-t-elle....
on va se la faire nous-mêmes la trame  

à la réflexion, je verrais bien un questionnement sur l'expression de la vérité (toute nue) des sentiments, empêchée par l'état de servitude.

  déjà proposé matinal, il en veut pas Lon

truffé de fausses pistes ce rébus.à y bien regarder, il est fesses à l'air l'helvète. a-t-on jamais vu guillaume tell dans une telle tenue,comme un satyre? quel sens donner à cette image

et que dire de la servitude. je ne vois même pas où s'accroche le [d].celui du chien? mais ne doit-on pas lire [dé]?

voilà! quand on n'a rien à proposer, on en est réduit à faire état de ses questionnements .
à vous les gens

et si c'était de "la servitude des croquants" dont il s'agit?

la servitude?

et plus loin "des crocs- en- jambe" ?