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Messages - rumeur

#1
Acros / RE: ENFANTS
03 Novembre 2006 à 17:01:38
 Arrêtez, la Chartreuse (marque d'huile merveilleuse s'il en est) risque de s'écrouler (de rire:pliéessssssssssssssss).
Zola attend qu'elle aille au charbon: Charleroi, Liège, Francorchamps si ça lui chante. Bref, elle a l'embarras du choix. Peu importe si elle tombe dans le trou: riront ceux qui manquent de sel à la maison.
#2
Acros / RE: Tout et rien 4
21 Octobre 2006 à 21:10:56
 Puriste dans l'âme, s'il m'en reste une, paix à la sienne, pauvre petite chose de rien, pioufffffff.
POURRA prend 2 R, sans en avoir l'air.
Et Dieu n'a rien à faire dans un éloge un super MEC qui vit très bien sans intersuperNENET. Des mecs comme lui, c'est rare, assez retro mais ça assure  grave.
#3
Acros / RE: Tout et rien 4
21 Octobre 2006 à 19:55:48
 Clin d'oeil à l'amour de ma vie qui depuis peu se voit contraint de me traîner comme un fardeau, alors que depuis 24 ans nous avons toujours tout tiré, traîné et supporté ensemble. Deux adorables rejetons, non rejetés mais  bel et bien voulus, désirés, couvés et presque libres de voler aujourd'hui. Chouette, on espère qu'on poura bientôt respirer. La santé fait de nous des marionnettes mais l'amour fait de tout de l'amour en concentré.

HOMMAGE A UN GRAND MONSIEUR

Et que ceux qui s'y reconnaissent s'y abreuvent.
Et que les femmes fortes soudain devenues faibles s'y
ressourcent.

                            ELOGE DE LA FATIGUE.

        Vous me dites, Monsieur, que j'ai mauvaise mine,
        Qu'avec cette vie que je mène, je me ruine,
        Que l'on ne gagne rien à trop se prodiguer,
        Vous me dites enfin que je suis fatigué.

        Oui je suis fatigué, Monsieur, et je m'en flatte.
        J'ai tout de fatigué, la voix, le coeur, la rate,
        Je m'endors épuisé, je me réveille las,
        Mais grâce à Dieu, Monsieur, je ne m'en soucie pas.
        Ou quand je m'en soucie, je me ridiculise.
        La fatigue souvent n'est qu'une vantardise.
        On n'est jamais aussi fatigué qu'on le croit !
        Et quand cela serait, n'en a-t-on pas le droit ?

        Je ne vous parle pas des sombres lassitudes,
        Qu'on a lorsque le corps harassé d'habitude,
        N'a plus pour se mouvoir que de pâles raisons...
        Lorsqu'on a fait de soi son unique horizon...
        Lorsqu'on a rien à perdre, à vaincre, ou à défendre...
        Cette fatigue-là est mauvaise à entendre ;
        Elle fait le front lourd, l'oeil morne, le dos rond.
        Et vous donne l'aspect d'un vivant moribond...

        Mais se sentir plier sous le poids formidable
        Des vies dont un beau jour on s'est fait responsable,
        Savoir qu'on a des joies ou des pleurs dans ses
        mains,
        Savoir qu'on est l'outil, qu'on est le lendemain,
        Savoir qu'on est le chef, savoir qu'on est la source,
        Aider une existence à continuer sa course,
        Et pour cela se battre à s'en user le coeur...
        Cette fatigue-là, Monsieur, c'est du bonheur.

        Et sûr qu'à chaque pas, à chaque assaut qu'on livre,
        On va aider un être à vivre ou à survivre ;
        Et sûr qu'on est le port et la route et le quai,
        Où prendrait-on le droit d'être trop fatigué ?
        Ceux qui font de leur vie une belle aventure,
        Marquant chaque victoire, en creux, sur la figure,
        Et quand le malheur vient y mettre un creux de plus
        Parmi tant d'autres creux il passe inaperçu.

        La fatigue, Monsieur, c'est un prix toujours juste,
        C'est le prix d'une journée d'efforts et de luttes.
        C'est le prix d'un labeur, d'un mur ou d'un exploit,
        Non pas le prix qu'on paie, mais celui qu'on reçoit.
        C'est le prix d'un travail, d'une journée remplie,
        C'est la preuve, Monsieur, qu'on marche avec la vie.

        Quand je rentre la nuit et que ma maison dort,
        J'écoute mes sommeils, et là, je me sens fort ;
        Je me sens tout gonflé de mon humble souffrance,
        Et ma fatigue alors est une récompense.

        Et vous me conseillez d'aller me reposer !
        Mais si j'acceptais là, ce que vous me proposez,
        Si j'abandonnais à votre douce intrigue...
        Mais je mourrais, Monsieur, tristement... de fatigue.

        Robert Lamoureux

#4
Acros / RE: Holly rejoint presque Jules Verne
18 Octobre 2006 à 17:08:05
 Ca y est, tu es accro 1ère classe, mais dis-moi, ta famille, ton jardin (s'il y a) et ta terrasse ont-ils dû en souffrir?
SNIFF
#5
Acros / RE: Tout et rien 4
05 Octobre 2006 à 20:01:02
 Chers messieurs, voici de quoi remettre à l'heure ACCRO, bien sûr, vos pendules masculins.
- Ah! si les hommes voulaient (vraiment) s'aider!
  Ah! si les femmes voulaient céder!
- Les femmes, chez nous représentent la moitié du corps
  électoral. Vu comme ça, le corps électoral, ça m'excite.
- Le meilleur moyen de faire tourner la tête à une femme,
  c'est de lui dire qu'elle a un joli profil.
- Depuis que les femmes écrivent, les hommes ont perdu
  des plumes.
- Les femmes préfèrent être belles plutôt qu'intelligentes
  parce que chez les hommes, il y a plus d'idiots que
  d'aveugles.
- L'escargot est à la fois mâle et femelle, mais il ne faut pas
  en profiter.
- Les femmes ont besoin d'une raison pour faire l'amour.
  Les hommes ont juste besoin d'un endroit.
 Voilà de quoi alimenter un retour au bar pour fêter un tournoi MECS / NANAS.

Une dernière, pour la route.

- Tout homme a dans coeur un cochon qui sommeille.
  P.S. Espérons qu'il a le sommeil lourd ........................