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Démarré par eileen, 03 Février 2011 à 11:43:38

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eileen

.



lotus82400

#1
Je soupire fréquemment
Désirant être avec toi, maman ;
Les larmes coulent
Tandis que je m'écroule
La douleur retentit comme un coup de feu
L'indifférence, une balle en plomb ;
Je ne peux aller mieux,
Engloutie dans ce gouffre sans fond
C'est à quelques vers que j'essaie de m'accrocher,
Mais ils ne reflètent que le passé ;sa c'est une petite dédicace a  ma mere un jour je lui enverrai et j'ai encore plus les mords contre elle pour moi j'ai plus de parents voila je sais c'est méchant mais quand on se fais insulté par sa mere alors que j'essai de m'expilquer et qu'elle veux ecouter un version mais surtout pas la mienne ke de sa fille ainée cherie de merde l'assistée

Tu ne me confieras pas le secret de ton silence,
Je ne pourrais découvrir le pourquoi de ton absence ;
A présent, je ne crois plus en notre lien,
Tu jettes une pierre pour sceller mon destin
A coups d'indifférence, tu me tues volontairement
Qu'est-ce qui t'as poussé à faire ça soudainement ?
C'est vrai, le manque de ton amour me rend folle parfois,
Seulement je suis humaine, comme toi
Les secondes chances sont hors d'atteinte ou rares ;
Je ne pourrais batir une carapace plus tard
Ni me reconstruire sur ça,
Vivre ne fera plus jamais partie de moi
Tu jettes une autre pierre pour aiguiser ma douleur,
Cette autre pierre démantèle mon cœur ;
Mes souffrances ne cicatriseront pas,
Je ne crois plus en ce monde, je ne crois pas en moi
Des marques sur mes bras
Témoignent l'affection que j'éprouve envers toi ;
Ton dédain me rend malade, je ne peux faire en sorte
De bien y résister car je suis loin d'être forte
Il n'est pas impossible que je meure par amour,
Ca arrivera sûrement un jour ;
Personne ne sera alors capable de me sauver
et vous me laisserez succomber.
Tu continues de t'éloigner ;
Je reste brisée,
Désirant que tu me tendes la main
Et recherchant ton soutien
L'indifférence ainsi que le silence me foutent en l'air,
Dans un tunnel sans fin, je me perds ;
Je déprime car j'ai besoin
De mes rêves qui m'attirent alors, m'emmènent loin
Mais les rêves sont rarement ce qu'ils semblent être,
Ils ne sont qu'un pastiche de bien-être :
Ayant perdu ce que je pensais avoir,
Je me suis retrouvée dans le désespoir
Je ne goûte qu'au chagrin et à la peur,
Ton absence m'a rendue faible, m'enlisant dans la douleur ;
L'anéantissement est arrivé
Dès lors que tu m'as abandonnée
A travers ton dernier message, je ne comprends pas
Ce que tu as voulu me dire ;
Tu laissais pourtant entendre que tu ne me laisserais pas,
Malheureusement, tu t'es éloignée sans prévenir
Si seulement je pouvais savoir ce que tu penses,
Connaître la raison pour laquelle tu m'as emprisonnée dans la souffrance ;
Néanmoins, tu enfonces toujours plus d'aiguilles
Dans le cœur de celle qui désire être ta fille.
Je me demande souvent pourquoi
Tu m'as laissée comme ça ;
Ici je pleure tout le temps,
Laissant tomber des larmes pour deux absents
Ton silence me matraque
Un souvenir et je craque ;
Tombée dans l'oubli,
Un souvenir et je faiblis,
Tu n'abrègeras pas ma souffrance,
Ne me feras pas don de ta présence ;
C'est sur un cœur de verre brisé que ce drame s'ouvre,
Les profondes cicatrices se sont souvent ouvertent

Je sais que tu ne viens pas me lire,
Le manque me déchire.
Ton indifférence est la raison
Pour laquelle je ne serais jamais libérée ;
Pourtant, je ne veux plus de cette vie désespérée
Car je ne supporte pas cet abandon
Tu m'as laissée dans la douleur,
Déchirant mon cœur ;
J'aimerais tant être avec toi,
Seulement tu n'as pas envie de ça
Je sens que je faiblis,
Je m'éteindrai, telle une bougie ;
Je souhaiterais pouvoir
Tous les jours, te voir
Allongée dans mon lit,
Je ne cesse de pleurer ;
L'impression d'être morte dans mon esprit,
Vient jusqu'aux os, me glacer
Détestant ce monde, je n'ai pas ma place ici ;
Dans mes rêves, je me réfugie,
Je me cache dans un mensonge fabuleux
Mais je vois que je suis seule lorsque j'ouvre les yeux
Une vie vécue à rêver
Est une vie ratée ;
Même si pense à toi tout le temps.
Sache que chaque coup que tu m'as donner
je ne les ai pas oublier
tu nous faisais passer pour tes menteuses
mais la je me sens beaucoup plus heureuse
Oui ce texte t'est bien destiner
mais je sais que tu ne viendra pas l'ecouter
je m'en fous puisque je me serais exprimer
sa faisais longtemps que j'en avais envie
meme si parfois les souvenirs revivent
j'ai raconter toute ma vie
et enfin  j'arrive
j'arrive a surmonter tout ca
a m'accrochant a mes pas
maintenant j'ai deux enfants
ha moi de ne pas faire comme ma maman
reflechir avant d'agir
et faire en sorte de mon mariage tenir
car ma vie aujourd'hui est de faire des efforts
pour ne plus faire de torts
je sais que j'ai du travail sur moi
la vie n'a pas de loi
meme si j'ai perdu la foi
je sais que j'ai encore un toit
a moi de le conserver
a moi de bien le consommer
l'indifference
sa donne de la souffrance
mais quand on tourne la page
je ne suis pas sur un nuage
mais sache que de toi je n'ai plus besoin
j'ai pas de mal car on prend soin
soin de moi
soin de notre toit
soin de notre vie
soin de nos soucis
soin de toi mon chéri


lotus
l'ignorance est la meilleure des armes

shakira

Assise sur la plage je regarde l'horizon bleu azure
C'est comme s'il m'attirait
Et ne laisse mon regard se détourner
Figée sur cette direction je plonge dans mes idées
Souvenirs tristes ou gaies
Peu importe, juste cette immensité
Sentiments aussi grands que ce monstre liquide
Bercée par le bruit des vagues
Une larme qui coule, un sourire discret
Après vient une phase de détente de sensation de vide
Mer tu peux être aussi grande que tu peux
Jamais tu ne pourras dépasser mon cœur et mon océan intérieur
Mon cœur peut aimer à l'infini toi tu as l'autre rive comme limite
Tes profondeurs ténébreuses ne sont pas plus obscures que mes peines
Mais comme la difficulté c'est la mer à boire
Pour toi je ne pourrai être qu'une gorgée .





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bunni

J'ai mal...je me dis  tu as rien a craindre mais tout a vivre!! Mais non!!! je suis tétue ....La vie est ce que nous sommes ...J'ai beau regarder les autres...je me dit sans cesse ..ils cherchent quoi ou  qui?A trop  penser je vire vers les arbres .... ceux qui peuvent m'entendre.....ils peuvent sentir les mots.... ceux qui sont cachés.....Je pense que nul est doué ,mais que tout est recherche en soi ..Le savoir  est  une question  de patience    et de volonté....

gsipeur

Le poète est parti
Il a quitté son nid
Il voulait voir Paris
Et y construire sa vie
Il a bien réussi
Il a chanté la vie

Il a chanté les femmes
Leur a rendu hommage
Les imbéciles heureux
Qui sont nés quelque part...
Il nous a transportés
Dans ses chansons sans fard

Mais Sète est sa patrie
Il y repose en paix
Et souvent, nous aussi
Bien que vivant ailleurs
Et dans les pires heures
Nous espérons toujours
Lorsque nos corps, nos coeurs
N'auront plus de beaux jours
Retrouver cet ailleurs
Et y vivre pour toujours...
Mieux vaut n'avoir peur de rien, qu'avoir peur de tout

Lon_Chaney

Je veux dédier ce poème
A toutes les femmes qu'on aime
Pendant quelques instants secrets
A celles qu'on connait à peine
Qu'un destin différent entraîne
Et qu'on ne retrouve jamais

A celle qu'on voit apparaître
Une seconde à sa fenêtre
Et qui, preste, s'évanouit
Mais dont la svelte silhouette
Est si gracieuse et fluette
Qu'on en demeure épanoui

A la compagne de voyage
Dont les yeux, charmant paysage
Font paraître court le chemin
Qu'on est seul, peut-être, à comprendre
Et qu'on laisse pourtant descendre
Sans avoir effleuré sa main

A la fine et souple valseuse
Qui vous sembla triste et nerveuse
Par une nuit de carnaval
Qui voulu rester inconnue
Et qui n'est jamais revenue
Tournoyer dans un autre bal

A celles qui sont déjà prises
Et qui, vivant des heures grises
Près d'un être trop différent
Vous ont, inutile folie,
Laissé voir la mélancolie
D'un avenir désespérant

Chères images aperçues
Espérances d'un jour déçues
Vous serez dans l'oubli demain
Pour peu que le bonheur survienne
Il est rare qu'on se souvienne
Des épisodes du chemin

Mais si l'on a manqué sa vie
On songe avec un peu d'envie
A tous ces bonheurs entrevus
Aux baisers qu'on n'osa pas prendre
Aux cœurs qui doivent vous attendre
Aux yeux qu'on n'a jamais revus

Alors, aux soirs de lassitude
Tout en peuplant sa solitude
Des fantômes du souvenir
On pleure les lêvres absentes
De toutes ces belles passantes
Que l'on n'a pas su retenir
!!

Lon_Chaney

Il n'y a pas d'amour heureux

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Rien n'est jamais acquis à l'homme Ni sa force
Ni sa faiblesse ni son coeur Et quand il croit
Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix
Et quand il croit serrer son bonheur il le broie
Sa vie est un étrange et douloureux divorce
          Il n'y a pas d'amour heureux

Sa vie Elle ressemble à ces soldats sans armes
Qu'on avait habillés pour un autre destin
A quoi peut leur servir de se lever matin
Eux qu'on retrouve au soir désoeuvrés incertains
Dites ces mots Ma vie Et retenez vos larmes
          Il n'y a pas d'amour heureux

Mon bel amour mon cher amour ma déchirure
Je te porte dans moi comme un oiseau blessé
Et ceux-là sans savoir nous regardent passer
Répétant après moi les mots que j'ai tressés
Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent
          Il n'y a pas d'amour heureux

Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard
Que pleurent dans la nuit nos coeurs à l'unisson
Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson
Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson
Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare
          Il n'y a pas d'amour heureux

Il n'y a pas d'amour qui ne soit à douleur
Il n'y a pas d'amour dont on ne soit meurtri
Il n'y a pas d'amour dont on ne soit flétri
Et pas plus que de toi l'amour de la patrie
Il n'y a pas d'amour qui ne vive de pleurs
          Il n'y a pas d'amour heureux
          Mais c'est notre amour à tous les deux
Louis Aragon (La Diane Francaise, Seghers 1946)



!!

gsipeur

Les belles passantes.... le regret, la mélancolie joliment exprimés
quelle belle chanson, mais bon Brassens... tout est bon chez lui, y a rien à jeter !
Mieux vaut n'avoir peur de rien, qu'avoir peur de tout

uncafenoir

Entre toi et moi
Si tu voulais
Il y aurait quelquechose
Peut-être rien d'grandchose
Peut-être pas beaucoup

Peut-être un soleil
Couchant dans les loins roses
Peut-être une pause
Dans cette vie de fous
Peut-être une pause
Dans cete vie de loups

Des loups y'en a plus
En forêt d'Ardennes
Restent les renards et les sangliers
Parfois on entend
Quand le soir se traîne
Hululer le hibou
Dans les fonds tout au bout

Où sont les chemins
Où aller ensemble
La feuille du tremble
Se penche sur nous
Excepté toi et moi
Tous les oiseaux du monde
Ont depuis longtemps
Commencé leur nid
Entre toi et moi
Si tu voulais
Il y aurait quelquechose
Peut-être rien d'grand chose
Peut-être pas beaucoup...(julos beaucarne,poete wallon)

bunni

#9
........yahouuuuu

J'ai oublié ce que je suis .... via tous les livres ....le partage des mots !!! je te les lances via ta figure  et je rigole  comme une gamine!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! yes       la grande est là... elle danse .. ose danser ....  ose décrouvrir tes ailes.... sois simple !!!!! cré ... ce qui touche  ton coeur ..(bon dieu !!!!!! ces mots!!)

:oyes

nuages_

L'orsque l'on est adolescent
Que l'on voit ses parents se déchirés
Ils finissent par un divorce
On est perdu,on cherche une solution
On n'a pas encore comprit que la situation était sans espoir

Il y a la partie enfants
Qui crie,qui ne comprend pas pourquoi ce sont ses parents pas ceux des autres
Pourquoi l'amour n'est plus la et ne sachant que faire,il evacue sa douleur
Il l'extériorise de la seul façon qu'il connait: pleuré


Puis il y a la partie adulte
Qui comprend pourquoi mais trouve ça  injuste
Il souffre également  lui meme il vit la meme experience que ses parents
Il laisse  monter sa fureur car  il ne veut pas l'accepter
Il explose dans ces moments la par des pleures des cris de douleurs
Mais apres toutes ces douleurs il prend sur lui meme il lutte

Un divorce fait mal et de  nombreux degats seulement la haine devient une separation stoppons  les degats
Avec le temps sa s'estompe mais  on oublie jamais pourquoi
On s'aimait et que les années nous éloignent de celui ou cette qu'on  c'etait  juré à vie de tout partager