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leçon de vie

Démarré par josie, 12 Octobre 2009 à 12:08:30

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Marsu

Renseignements s.v.p.

Lorsque j'étais très jeune, mon père a eu l'un des premiers téléphones dans notre voisinage. Je me rappelle très bien la vieille boîte en bois, bien polie, fixée au mur et le petit récepteur noir, bien lustré, accroché sur son côté. J'étais trop petit pour atteindre le téléphone, mais j'étais habitué à écouter avec fascination ma mère lui parler.

Par la suite, j'ai découvert qu'en quelque part, dans ce merveilleux appareil, vivait une personne fantastique - son nom était "Renseignements SVP" et il n'y avait rien que cette personne ne savait pas. "Renseignements SVP" pouvait fournir le numéro de n'importe qui en plus de l'heure exacte.

Ma première expérience personnelle avec ce "génie dans une bouteille" s'est produite un jour où ma mère était partie chez une voisine. Je m'amusais au sous-sol et je me suis donné un violent coup de marteau sur un doigt. La douleur était terrible, mais il ne semblait pas y avoir de raisons pour que je crie... j'étais seul et personne ne pourrait m'entendre et me réconforter.

Je faisais les cent pas autour de la maison, en suçant mon doigt pour finalement arriver devant l'escalier... Le téléphone !!!! Rapidement, j'ai couru chercher le petit tabouret dans la cuisine et je l'ai traîné jusque devant le téléphone. Je suis monté dessus, j'ai décroché le combiné et l'ai placé contre mon oreille. "Renseignements SVP" dis-je dans le microphone, juste au-dessus de ma tête.

Un clic ou deux et j'entends une petite voix claire me dire: "Renseignements".

Je dis alors: "Je me suis fait mal au doigt".
"Est-ce que tu saignes ?" m'a demandé la voix.
Je lui réponds: "Non, je me suis frappé le doigt avec un marteau et ça fait très mal".
Elle me demande alors: " Peux-tu ouvrir la boîte à glace ?"
Je lui répondis que oui je pouvais.
"Alors, prends un petit morceau de glace et pose-le sur ton doigt" me dit-elle.

Après cette expérience, j'ai appelé "Renseignements SVP" pour n'importe quoi. Je lui ai demandé de l'aide pour ma géographie et elle m'a dit où se trouvait Montréal. Elle m'a aidé aussi avec mes mathématiques. Elle m'a dit que le petit écureuil, que j'avais trouvé dans le parc la journée précédente, devait manger des fruits et des noix.

Un peu plus tard, mon petit canari est mort. J'ai donc appelé "Renseignements SVP" et lui ai raconté ma triste histoire. Elle m'a écouté attentivement et m'a dit les choses usuelles qu'un adulte dit pour consoler un enfant, mais j'étais inconsolable. Je lui ai demandé: "Pourquoi les oiseaux chantent si merveilleusement et procurent tellement de joie aux familles seulement pour finir comme un tas de plumes dans le fond d'une cage ?"

Elle a probablement ressenti mon profond désarroi et me dit alors, d'une voix si calme: "Paul, rappelle-toi toujours qu'il existe d'autres mondes où on peut chanter". D'une certaine façon, je me sentais mieux. Une autre fois que j'utilisais le téléphone "Renseignements SVP", "Renseignements" me répondait la voix, maintenant devenue si familière. Je lui demande alors: "Comment épelez-vous le mot réparation ?".

Tout ça se passait dans la ville de Québec. Quand j'ai eu 9 ans, nous sommes déménagés sur la Côte nord, à l'autre bout de la province. Je m'ennuyais terriblement de mon amie. "Renseignements SVP" appartenait à cette vieille boîte en bois de notre maison familiale, et, curieusement, je n'ai jamais songé à utiliser le nouvel appareil téléphonique étincelant, posé sur une table, dans le corridor, près de l'entrée.

Même à l'adolescence, les souvenirs de ces conversations de mon enfance ne m'ont jamais quitté. Souvent, lors des moments de doute et de difficultés, je me rappelais ce doux sentiment de sécurité que j'avais à cette époque. J'appréciais maintenant la patience, la compréhension et la gentillesse qu'elle avait pour consacrer de son temps à un petit garçon.

Quelques années plus tard, alors que je me dirigeais au Collège, à Montréal, mon avion devait faire une escale à Québec. J'avais près d'une demi-heure entre le transfert d'avion. J'ai donc passé 15 minutes au téléphone avec ma soeur, qui vit toujours à Québec. Ensuite, sans penser vraiment à ce que je faisais, j'ai composé le "0" et j'ai demandé: "Renseignements SVP". Miraculeusement, j'entendis alors cette même petite voix claire que je connaissais si bien: "Renseignements".

Je n'avais rien prévu de tout ça, mais je m'entendis lui dire: "Pouvez-vous m'aider à épeler le mot "réparation ?". Il y a eu un long moment de silence. Ensuite, j'entendis une voix si douce me répondre:

"Je suppose que ton doigt doit être guéri maintenant."
Je me mis à rire et lui dit: "C'est donc toujours vous ?".

Je lui dis: " Je me demande si vous avez la moindre idée comme vous étiez importante pour moi pendant toutes ces années".

"Je me demande, dit-elle, si tu sais combien tes appels étaient importants pour moi. Je n'ai jamais eu d'enfants et j'étais toujours impatiente de recevoir tes appels".

Je lui ai dit comment, si souvent, j'ai pensé à elle au cours de ces dernières années et je lui ai demandé si je pouvais la rappeler, lorsque je reviendrais visiter ma soeur.

"Je t'en prie, tu n'auras qu'à demander Sally" me répondit-elle.

Trois mois plus tard, alors que j'étais de nouveau à Québec, une voix différente me répondit "Renseignements". J'ai donc demandé à parler à Sally. "Êtes-vous un ami ?" me demanda la voix inconnue. Je lui répondis: "Oui, un vieil ami". J'entendis la voix me dire: "Je suis désolé d'avoir à vous dire ça, Sally ne travaillait plus qu'à temps partiel ces dernières années parce qu'elle était très malade. Elle est morte il y a 5 semaines déjà".

Avant même que je n'aie le temps de raccrocher, elle me dit: "Attendez une minute. M'avez-vous dit que votre nom était Paul? " Je répondis "Oui". "Eh bien, Sally a laissé un message pour vous. Elle l'a écrit, au cas où vous appelleriez. Laissez-moi vous le lire". Ce message disait: "Dites-lui que je crois toujours qu'il y a d'autres mondes où on peut chanter. Il saura ce que je veux dire".

Je lui dis donc merci et raccrochai. Je savais ce que Sally voulait dire...

Auteur inconnu.

molotov


Un jour après m'être garé, je fermais ma voiture. En m'en éloignant, j'entendais que la porte se déverrouillait. J'y retournais et je la verrouillais à nouveau, j'ai dû le faire trois fois. Chaque fois dès que je m'éloignais de ma voiture, j'entendais la serrure se déverrouiller !! Comme j'étais alerté par cette bizarrerie, je regardais autour de moi et je voyais deux gars assis dans une voiture pas loin de là. Il était évident qu'ils me surveillaient intentionnellement et il était hors de doute qu'ils étaient impliqués dans cette situation très bizarre. J'ai immédiatement laissé tomber la course que je m'apprêtais à faire, j'ai sauté dans ma voiture et j'ai démarré. Je suis allé aussitôt au commissariat de police pour leur raconter ce qui s'était passé. J'y ai appris que j'étais victime d'un tout nouveau procédé, très au point, permettant de s'introduire dans les voitures garées. Deux semaines après, le fils d'un de mes amis a vécu une situation identique .... Le fils de mon ami s'est arrêté sur un aire de repos pour aller aux toilettes. Lorsqu'il est revenu auprès de sa voiture - moins de 4 minutes plus tard - quelqu'un s'y était introduit et avait volé son portable, son ordinateur portable, son navigateur GPS, son attaché-case......etc. Il a appelé la police et comme il n'y avait pas de signes de cambriolage démontrant que la porte avait été forcée, la police l'a informé qu'il venait d'être victime de la toute dernière tactique de vol -- il y a notamment un appareil que les voleurs utilisent aujourd'hui qui permet de clôner votre code de sécurité au moment où vous verrouillez vos portes de voiture avec votre clé de fermeture à distance.. Les voleurs se trouvent à quelques pas de là et ils attendent leur prochaine victime. Ils savent que vous allez entrer au magasin, au restaurant ou aux toilettes et qu'ils disposent de quelques minutes pour effectuer leur vol avant de s'enfuir. L'agent de police a dit de verrouiller vos portes MANUELLEMENT - en faisant marcher le bouton de verrouillage à l'interieur de la voiture. Lorsqu'en quittant votre voiture, vous faites actionner le bouton de verrouillage intérieur, le code de sécurité n'est pas envoyé dans les ondes. En revanche, si vous vous éloignez de votre voiture et vous
verrouillez les portes en utilisant votre clé de verrouillage à distance, le code est envoyé dans les ondes et peut instantanément être clôné et volé..
Ceci est un fait très réel. Soyez bien conscient de ce que vous venez de lire et transférez SVP le message.
la vie est un court métrage
assez court mais trash
à la kourtajmé, on court avec la rage mais
on se goure à s'étendre tels des taches sans jouer les taspés
on a des gros plans sur des plans parfoits marrants
ou décevant suivant le synopsis qui se transform en faux plan

sur la grande to

josie

Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve une réalité

touraan

#18
Deux hommes,tous deux gravement malades,occupaient la même chambre d'hôpital. L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons.

Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre devait passer ses journées couché sur le dos. Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures.

Ils parlaient de leur épouse et famille,décrivaient leur maison,leur travail,leur participation dans le service militaire et les endroits ou ils allaient en vacances.

Et chaque après midi,quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir,il passait son temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors.

L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure ou son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.

De la chambre,la vue donnait sur un parc et un beau lac.Les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux modèles réduits. Les amoureux marchaient bras dessus,bras dessous,parmi des fleurs aux couleurs de l'arc en ciel. de grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin ,la ville se dessiner.

Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails,l'homme de l'autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait cette scène pittoresque.

Lors d'un bel après midi,l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre,il pouvait le voir avec les yeux de son imagination,tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante!

Les jours et les semaines passaient. Un matin,à l'heure du bain,l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre,mort paisiblement dans son sommeil. Attristée,elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.

Dès qu'il sentit le temps approprié,l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à côté de la fenêtre. L'infirmière,heureuse de lui accorder cette petite faveur,s'assura de son confort,puis elle le laissa seul.

Lentement,péniblement,le malade se souleva un peu,en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'oeil dehors. Enfin,il aurait la joie de voir par lui même ce que son ami lui avait décrit.Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit.

Or tout ce qu'il vit, fut un mur.
L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre lui avait dépeint une toute autre réalité.L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur." peut-être a t'il seulement voulu vous encourager..." commenta t'elle.

Epilogue

Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux en dépit de nos propres épreuves! La peine partagée réduit de moitié la douleur mais le bonheur,une fois partagé,s'en trouve doublé!

twingo

COMMENT RESTER EN SANTÉ :

1. Ne vous occupez pas de chiffres non nécessaires.
Ceci inclut l'âge, le poids, le taux de cholestérol, la pression et la taille.
Laissez le docteur s'en préoccuper, c'est la raison pour laquelle on paie l'assurance maladie !

2.Ne conservez que les amis joyeux ! Les grincheux vous démoralisent.

3.Continuez à apprendre.
Apprenez toujours plus au sujet des ordinateurs, de l'artisanat, du jardinage ou autre.
Ne laissez jamais votre cerveau au repos.
Un cerveau au repos est l'atelier du diable.
Et le nom du diable est Alzheimer !

4.Amusez-vous de choses simples.

5.Riez souvent, longtemps et fort.

Riez jusqu'à ce que vous n'ayez plus de souffle et que vos larmes coulent.

6.Si vous avez une grosse peine, pleurez un bon coup, séchez vos larmes et continuez votre chemin.
La seule personne qui vous accompagne pour la vie est vous-même.
Soyez VIVANT tout au cours de votre vie.

7.Entourez-vous de choses que vous aimez: les animaux domestiques, des collections, de la musique, plantes, passe-temps ou autre.

8.Prenez soin de votre santé :
Elle est bonne, conservez-la
Elle est instable, améliorez-la
Vous n'en avez plus le contrôle, allez chercher de l'aide.

9.Ne voyagez pas dans le temps vers la culpabilité.
Voyagez jusqu'au centre d'achats, vers la campagne, vers le pays voisin mais jamais où vous rencontrerez la culpabilité.

10.Dites à ceux que vous aimez que vous les aimez, à chaque occasion.

ET SOUVENEZ-VOUS :


La vie ne se mesure pas par le nombre de respirations prises mais par le nombre de moments qui nous ont coupé le souffle

josie

LE BILLET DE 100 Frs.

Un conférencier bien connu commence son séminaire en tenant
bien haut un billet de 100 frs.

Il demande aux gens :

"Qui aimerait avoir ce billet ?"

Les mains commencent à se lever, alors il dit :

"Je vais donner ce billet de 100 frs à l'un d'entre vous mais
avant laissez-moi faire quelque chose avec."

Il chiffonne alors le billet avec force et il demande :

"Est-ce que vous voulez toujours ce billet ?"

Les mains continuent à se lever.

"Bon, d'accord, mais que se passera-t-il si je fais cela."

Il jette le billet froissé par terre et saute à pied joints dessus,
l'écrasant autant que possible et le recouvrant des poussières du
plancher.

Ensuite il demande :

"Qui veut encore avoir ce billet ?"

Évidemment, les mains continuent de se lever !

"Mes amis, vous venez d'apprendre une leçon... Peu importe ce
que je fais avec ce billet, vous le voulez toujours parce que sa
valeur n'a pas changé, il vaut toujours 100 frs."

"Alors pensez à vous, à votre vie. Plusieurs fois dans votre vie
vous serez froissé, rejeté, souillé par les gens ou par les
événements.

Vous aurez l'impression que vous ne valez plus rien mais en
réalité votre valeur n'aura pas changé aux yeux des gens qui
vous aiment !

La valeur d'une personne ne tient pas à ce que l'on a fait ou
pas, vous pourrez toujours recommencer et atteindre vos objectifs car votre valeur intrinsèque est toujours intacte."

Auteur inconnu
Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve une réalité

touraan

Un homme et son chien marchaient le long d'une route. L'homme admirait le paysage quand tout à coup il réalisa qu'il était mort. Il se rappela sa mort et réalisa que son chien aussi était mort depuis des années. Il se demandait où le chemin les amènerait.

Après un moment, ils approchèrent d'une grosse roche blanche. Elle ressemblait à une bille. Rendu au sommet, il vit qu'elle était fendue et qu'une lumière en jaillissait.
Quand il s'approcha, il vit une route en or pur et une magnifique entrée. L'homme et son chien marchèrent jusqu'à la porte. Au fur et à mesure qu'ils approchaient, l'homme vit un autre homme assis à une table. Quand il fut assez proche, il demanda à l'homme :
"Où sommes-nous?"
-"Vous êtes au paradis monsieur"
-"Wow! Est-ce que vous auriez de l'eau?"
-"Bien sûr! Entrez, je vais vous faire venir de l'eau froide dans  un instant."
L'homme fit quelques gestes et la porte ouvrit.
-"Est-ce que mon chien peut entrer?" demanda-t-il en pointant le chien.
-"Désolé monsieur, mais nous n'acceptons pas les animaux." L'homme réfléchit et décida de reprendre le chemin.

Après une longue marche, au sommet d'une colline, il croisa une route de terre qui le mena à une porte de grange qui avait l'air de n'avoir jamais été fermée. Il n'y avait pas de clôture.  Alors qu'il s'approchait, il vit un homme appuyé sur un arbre qui lisait un livre.
-«Excusez moi monsieur, est-ce que vous avez de l'eau?
-"Bien sûr, il y a une pompe un peu plus loin."
Il pointa plus loin mais on ne voyait rien.
-"Venez à l'intérieur , je vous la montre"
-"Est-ce que mon ami peut venir?
-"Bien sûr, il doit y avoir un bol près de la pompe"
Ils traversèrent la porte et virent une vieille pompe avec un bol à ses côtés. L'homme rempli le bol, prit une gorgée et donna le reste au chien. Quand ils eurent fini, ils retournèrent voir l'homme qui était toujours près de l'arbre.

-"Comment appelez-vous cet endroit?"
-"Mais c'est le paradis"
-"C'est mêlant. L'homme que nous avons rencontré un peu plus tôt a dit la même chose.
"-"Ah! Vous parlez du chemin en or et de la porte en perle? Non, ça c'est l'enfer"
-"Mais ça ne vous fâche pas qu'ils utilisent votre nom comme ça?"
-"Non, mais je comprends que vous me posiez la question. Nous sommes seulement contents qu'ils attirent les gens qui laissent leurs amis derrière."

josie

- Pensez toujours à ceux qui servent.

À l'époque où un sundae de crème glacée coûtait beaucoup moins, un petit garçon de 10 ans entre dans le café d'un hôtel et s'assoit à une table. Une serveuse dépose un verre d'eau devant lui. " C'est combien pour un sundae de crème glacée ? " demande-t-il. " 50 cents " répond la serveuse. Le petit garçon sort la main de sa poche et se met à examiner la monnaie qu'elle contient. " Bien, comment pour un simple plat de crème glacée? " demande-t-il. À ce moment il y a des gens qui attendent pour une table et la serveuse commence à perdre patience. " 35 cents " répond-elle sèchement. "Je vais prendre le plat de crème glacée " dit-il. La serveuse lui apporte sa crème glacée, dépose l'addition sur la table et s'en retourne. Le garçon finit sa crème glacée, paie à la caisse et s'en va. Quand la serveuse revient, elle a la larme à l'oeil en nettoyant la table. Bien placé au côté du plat vide, il y a 15 cents . Le petit garçon ne pouvait pas prendre le sundae parce qu'il devait lui restait suffisamment de monnaie pour laisser un pourboire.


trouver sur le net
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josie

   Un petit "Conte" avant Noël... sur l'amour et le temps...


Il était une fois une île où toutes les différentes qualités humaines et sentiments vivaient : le Bonheur, la Tristesse, le Savoir, ainsi que tous les autres, l'Amour y compris. Un jour, on annonça aux sentiments que l'île allait couler. Ils préparèrent donc tous leurs bateaux et partirent. Seul l'Amour resta. L'Amour voulait rester jusqu'au dernier moment.

    Quand l'île fut sur le point de sombrer, l'Amour décida d'appeler à l'aide. La Richesse passait à côté de l'Amour dans un luxueux bateau. L'Amour lui dit : "Richesse, peux-tu m'emmener ?" "Non, car il y a beaucoup d'argent et d'or sur mon bateau. Je n'ai pas de place pour toi". l'Amour décida alors de demander à l'Orgueil, qui passait aussi dans un magnifique vaisseau : "Orgueil, aide moi, je t'en prie !" "Je ne puis t'aider, Amour, tu es tout mouillé et tu pourrais endommager mon bateau". La Tristesse étant à côté, l'Amour lui demanda: "Tristesse, laisse moi venir avec toi" "oh...Amour, je suis tellement triste que j'ai besoin d'être seule !" Le Bonheur passa aussi à côté de l'Amour, mais il était si heureux qu'il n'entendit même pas l'Amour l'appeler.

    Soudain, une voix dit "viens, Amour, je te prends avec moi !" C'était un vieillard qui avait parlé. L'Amour se sentit si reconnaissant et plein de joie qu'il en oublia de demander son nom au vieillard. Lorsqu'ils arrivèrent sur la terre ferme, le vieillard s'en alla. L'Amour réalisa combien il lui devait et demanda au Savoir : "Qui m'a aidé ?"

    "C'était le Temps", répondit le Savoir. "Le Temps ?" s'interrogea l'Amour, "Mais pourquoi le Temps m'a-t'il aidé ?" Le Savoir sourit plein de sagesse et répondit :

    "C'est parce que seul le Temps est capable de comprendre combien l'Amour est important dans la Vie".

Auteur inconnu
Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve une réalité

kassis

QUE VOUDRAIS-TU FAIRE QUAND TU SERAS GRAND?

Une mère de 26 ans était très pensive en regardant son fils qui se mourait de leucémie terminale. Même si son cœur était abattu par la tristesse, elle conservait un grand sens de détermination. Comme toutes les mères elle souhaitait que son fils croisse et réalise tous ses rêves. Mais maintenant cela n'était plus possible pour son fils. La leucémie ne le lui permettrait pas.

Mais même ainsi, elle voulait que les rêves de son fils se réalisent. Elle prit la main de son fils et lui demanda:

Billy, as-tu déjà pensé à ce que tu aimerais être quand tu grandiras?
As-tu rêvé et pensé parfois à ce que tu ferais de ta vie?

Maman, j'ai toujours voulu être un pompier quand je serais grand.

La mère sourit et dit: Voyons si nous pouvons faire de ton rêve une réalité.

Plus tard ce jour-là, elle se rendit au Poste de Pompiers de Phœnix, Arizona.

Là elle connût le Pompier Bob, un homme avec un cœur grand comme Phœnix. Elle lui expliqua le dernier désir de son fils et lui demanda s'il était possible de donner a son fils de six ans une promenade autour du carré de maisons dans un camion de pompiers.

Le Pompier Bob dit:

Voyez madame, nous pouvons faire quelque chose de mieux que cela. Que votre fils soit prêt mercredi, à sept heures du matin exactement et nous le ferons Pompier Honoraire durant toute la journée. Il peut venir ici à la station avec nous, manger avec nous, sortir avec nous quand nous recevrons des appels pour incendies sur tout notre territoire. Et si vous nous donnez ses mesures, nous aurons pour lui un véritable uniforme de pompier avec un vrai chapeau qui portera l'emblème de la Station de Pompiers de Phœnix, non pas un jouet, mais l'emblème jaune que nous portons et il aura aussi ses bottes de caoutchouc. Tout cela est fait ici à Phœnix, ainsi ce sera facile de l'avoir assez rapidement.

Trois jours plus tard le Pompier Bob alla chercher Billy, il lui mit son uniforme de pompier et il le conduisit de son lit d'hôpital jusqu'au camion-pompe. Billy dût s'asseoir à l'arrière du camion et aider à conduire durant le trajet de retour à la station. Il se croyait au ciel. Il y eut trois appels ce jours-là à Phœnix et Billy a dû sortir pour les trois appels. Il y alla dans trois camions différents.

Il est revenu dans le mini-bus paramédical et aussi dans l'auto du Chef des Pompiers. Ils filmèrent l'évènement pour les nouvelles locales de la télévision. Ayant réalisé son rêve et avec tout l'amour et l'attention qui lui furent donnés, Billy fut touché si profondément qu'il réussit a vivre trois mois de plus que ce dont n'importe quel médecin pensait qu'il vivrait.

Une nuit, tous les signes vitaux commencèrent à faiblir de façon dramatique et l'infirmier en chef, qui croyait dans l'idée hospitalière que personne de doit mourir étant seul, commença à appeler les membres de la famille pour qu'ils viennent à l'hôpital.

Ensuite, il se souvint du jour que Billy avait vécu comme s'il était un pompier et il appela le Chef de la Station et lui demanda si c'était possible qu'il envoie à l'hôpital un pompier en uniforme pour qu'il soit avec Billy quand il rendrait l'âme.

Et le Chef lui dit:

Nous ferons quelque chose de mieux. Nous serons là dans cinq minutes. Vous pouvez me faire une faveur? Quand vous entendrez sonner les sirènes et verrez clignoter les lumières, avertissez dans les haut-parleurs qu'il n'y a pas d'incendie, mais que le Département des pompiers vient visiter une fois de plus un de ses plus importants membres. Et s'il-vous-plaît ouvrez la fenêtre de sa chambre.

Cinq minutes plus tard, un camion de pompier arriva à l'hôpital avec un crochet et un escalier télescopique qui se levèrent jusqu'au troisième étage où était la fenêtre ouverte de la chambre de Billy et 16 pompiers montèrent dans la chambre de Billy. Avec la permission de sa maman, chacun d'eux l'embrassa et le berça lui disant qu'il l'aimait.

Billy regarda le Chef des Pompiers et de sa voix d'agonisant lui demanda: CHEF, SUIS-JE MAINTENANT UN VRAI POMPIER?

Le chef lui répondit: OUI BILLY, TU L'ES.


A ces mots Billy sourit et ferma les yeux pour la dernière fois.
L'amour d'une mère pour son enfant ne connaît ni loi, ni pitié, ni limite. Il pourrait anéantir impitoyablement tout ce qui se trouve en travers de son chemin.