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leçon de vie

Démarré par josie, 12 Octobre 2009 à 12:08:30

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josie

Petits textes extraordinaire ou d' humour et de vie c'est ici :

je commence  ;)

"Un non voyant"

« Un jour, un non-voyant était assis sur les marches
d'un bâtiment avec un chapeau à ses pieds et un morceau
de carton portant l'inscription :
«Je suis aveugle, aidez-moi, s'il vous plaît.

Un publicitaire qui se promenait près de là s'arrêta et
remarqua qu'il n'y avait que quelques centimes dans son
chapeau. Il se pencha et y versa sa monnaie, puis, sans
demander son avis à l'homme, prit le carton, le tourna
et y écrivit une autre phrase..

Le même après-midi, le publicitaire revint près de
l'aveugle et vit que son chapeau était plein de monnaie
et de billets. Le non-voyant reconnut le pas de l'homme
et il lui demanda si c'était lui qui avait réécrit sur
son carton et ce qu'il avait noté.

Le publicitaire répondit :
« Rien qui ne soit pas vrai, j'ai seulement réécris ta
phrase d'une autre manière. », il sourit et s'en alla.

Le non-voyant ne sut jamais que sur son carton il était
écrit :
« Aujourd'hui, c'est le printemps, et moi je ne peux
pas le voir »

Change ta stratégie quand les choses ne se passent pas
bien et tu verras que ça ira mieux. Partagez ce message
les personnes qui, selon toi, méritent de voir le printemps,
même si parfois c'est difficile, et à toutes les personnes
que tu voudrais voir sans cesse sourire, parce qu'avec leur
sourire, ils rendent le monde meilleur.

Si un jour on te reproche que ton travail n'est pas un
travail de professionnel, dis-toi bien que l'Arche de
Noé a été construite par des amateurs et le Titanic par
des professionnels...

BONNE SEMAINE A TOUS !!!


(Trouver sur le net)
Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve une réalité

josie

#1
L'Histoire de la Soupe aux Cailloux

Ce conte a été écrit par Marcia Brown en 1947:
l'histoire est tirée d'une vieille légende française (parfois on dit qu'elle est russe), .

Trois soldats marchaient péniblement le long d'une route dans un pays inconnu. Ils étaient sur le chemin du retour de la guerre. En plus d'être fatigués, ils étaient affamés. En effet, ils n'avaient rien mangés depuis deux jours.

"Comme j'aimerai avoir un bon dîner ce soir," dit le premier. "Et un lit pour dormir," ajouta le second. "Mais c'est impossible" dit le troisième.

Alors qu'ils marchaient toujours, ils virent tout a coup les lumières d'un village droit devant eux. "Peut être trouverons nous quelque chose à manger et un lit pour dormir," pensèrent ils.

Mais les paysans du village avaient peur des inconnus. Quand ils apprirent que trois soldats arrivaient sur la route, ils se réunirent et parlèrent entre eux. "Trois soldats arrivent ici," dirent ils. "Les soldats ont toujours faim. Mais nous avons déjà si peu pour nous mêmes." Et ils se dépèchèrent de cacher leur nourriture. Ils cachèrent l'orge They hid the dans le grenier a foin, les carrotes sous des couvertures, et les seaux de lait dans le puit. Ils cachèrent tout ce qu'ils avaient à manger. Puis ils attendirent.

Les soldats s'arrêtèrent à la première maison. "Bonsoir," dirent ils. "Pouvez-vous donner un peu de nourriture à trois soldats affamés ?" "Nous n'avons pas de nourriture pour nous-même," mentirent les habitants. "Ce fut une pauvre récolte."

Les soldats allèrent jusqu'à la maison suivante. "Pouvez-vous nous donner un peu de nourriture?" demandèrent ils. "Et avez-vous un endroit où dormir pour la nuit?" "Oh, non," répondit l'homme. "Nous avons donner tout ce qui nous restait aux soldats qui sont venus avant vous." "Et nos lits sont pleins," mentit la femme.

A chaque maison, la réponse était la même -- Personne n'avait de nourriture ou de place pour les soldats. Les paysans avaient de bonnes raisons, comme nourrire les malades et les enfants. Les villageois se tenaient dans la rue et soupiraient. Ils prennaient l'air aussi affamés qu'ils le pouvaient.

Les soldats parlèrent ensemble. Le premier soldat appela, "Brave gens! Nous sommes trois soldats affamés dans un pays inconnu. Nous vous avons demandé de la nourriture et vous n'en avez pas. Bien, il ne nous reste plus qu'à faire une soupe de cailloux." Les paysans les dévisagèrent.

Les soldats demandèrent une marmite en acier, de l'eau pour la remplir, et un feu pour la chauffer. "Et maintenant, s'il vous plaît, trois cailloux ronds et lisses." Les soldats jettèrent les cailloux dans la marmite.

"Toutes les soupes ont besoin de sel et de poivre," dit le premier soldat, alors un enfant courrut chercher du sel et du poivre.

"Les cailloux font une bonne soupe, mais des carrotes la rendraient tellement meilleure," ajouta le second soldat. Une femme dit, "Je crois que j'ai une ou deux carrotes!" Elle courut chercher les carrotes.

"Une bonne soupe aux cailloux devrait avoir du choux, mais n'utilisons pas ce que nous n'avons pas!" dit le troisième soldat. Une autre femme dit, "Je pense que je peux probablement trouver du choux," et elle détala.

"Si seulement nous avions un peu de boeuf et quelques pommes de terre, cette soupe serait digne de la table d'un homme riche." Les paysans y réfléchirent, puis coururent chercher ce qu'ils avaint cacher dans leurs caves. Une soupe d'homme riche, et tout ça à partir de quelques cailloux! Ca a l'air magique!

Les soldats dirent, "si seulement nous avions un peu d'orge et de lait, cette soupe serait digne d'un roi!" Et les paysans apportèrent de l'orge et du lait.

"La soupe est prête," dit le cuisinier, "et nous allons tous y goûter, mais d'abord nous devons mettre la table." Quand les tables et les torches furent dressées, tout le monde s'assit et mangea. Quleques paysans dirent, "Une telle soupe serait encore meilleure avec du pain et du cidre," ils amenèrent alors les deux derniers aliments et le banquet fut apprécier par tous. Il n'y avait jamais eu une telle fête. Jamais les paysans n'avaient goûter une soupe aussi délicieuse, et entièrement faite avec des cailloux! Ils mangèrent, burent et dansèrent toute la nuit.

Le lendemain, les villageois se rassemblèrent pour dire au revoir aux soldats. "Merci beaucoup," dirent les gens, "nous n'aurons plus jamais faim maintenant que vous nous avez montré comment faire de la soupe avec des cailloux!"
Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve une réalité

josie

La recette du bonheur conjugal

Mettez d'abord dans un bocal
Deux ou trois livres d'espérance,
Puis vous y joindrez un quintal
De petits soins, de complaisance,
Une mesure de bonté.
À discrétion de la gaîté,
Quatre ou cinq pots d'obéissance,
À pleins bords, de la bienveillance.

Liez avec de la douceur;
Et crainte de monotonie,
Ajoutez à la bonne humeur
Un tout petit peu de folie.
Quant au sel, n'en mettez qu'un grain;
Car, si vous passiez l'ordonnance,
Il faudrait doubler pour le moins
Votre dose de patience.

Cuire le tout à petit feu,
D'une chaleur bien soutenue;
Qu'Amour et Amitié, tous deux,
Ne se perdent jamais de vue.
Vous obtiendrez par ce moyen
Une pâte fort bien pétrie,
Dont une once chaque matin
Suffit pour embellir la vie.

auteur inconnu
Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve une réalité

josie


Juste une heure


Un homme arrive chez lui un soir fatigué après une dure journée de travail, pour  trouver son petit garçon de 5 ans assis sur les marches du perron.

- Papa, est-ce que je peux te poser une question?
- Bien sûr!
- Combien gagnes-tu de l'heure?
- Mais, ça ne te regarde pas fiston!
- Je veux juste savoir.  Je t'en prie, dis-le moi!
- Bon, si tu veux absolument savoir : $35.00 de l'heure.
- Le petit garçon s'en retourne dans la maison avec un air triste.

Il revient vers son père et lui demande :
- Papa, pourrais-tu me prêter $10.00?
- Bon, c'est pour ça que tu voulais savoir.  Pour m'emprunter de l'argent!  Va dans ta chambre et couche-toi.  J'ai eu une journée éprouvante, je suis fatigué et je n'ai pas le goût de me faire achaler avec des niaiseries semblables.

Une heure plus tard, le père qui avait eu le temps de décompresser un peu se demande s'il n'avait pas réagit trop fort à la demande de son fils.  Peut-être qu'il voulait s'acheter quelque chose d'important.  Il décide donc d'aller dans la chambre du petit :
- Dors-tu?
- Non, papa!
- Écoute, j'ai réfléchi et voici le $10.00 que tu m'as demandé. - Oh merci papa!
Le petit gars fouille sous son oreiller et en sort $25.00.  Le père en voyant l'argent devient encore tout irrité.
- Mais pourquoi tu voulais $10.00?  Tu as déjà $25.00!
Qu'est-ce que tu veux faire avec cet argent?
- C'est que... il m'en manquait.  Mais maintenant j'en ai juste assez.  Papa, est-ce que je pourrais t'acheter une heure de ton temps?  Demain soir, arrive à la maison plus tôt. J'aimerais souper avec toi!

Auteur inconnu
Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve une réalité

josie

#4
la leçon de courage du jour pensée amicale bisous

Garde le sourire

Apres 25 années
De malaises légers
Et vue déficiente
D'inconvénients passagers
Et fatigue permanente
Douleurs fréquentes
Et d'incompréhension navrante
Clac ....
à 40ans le verdict est tombé
Sur ma tête comme un couperet
Sclérose en plaques !
Quel sera mon avenir ?
Que vais -je devenir ?
A toutes mes questions
Le médecin incompétent répondait
Après quelque hésitation:
Tout ce que je sais
Vous serez en fauteuil roulant
Dans plus ou moins longtemps
Enorme consternation ...
Grosse dépression...
Le temps a passé
Au lieu de me laisser aller
J'ai décidé de lutter
Et de contrer cette fatalité
S'il y a des choses que je ne peux plus faire
Il y en a d'autres que j'ai découvert
A ceci je suis devenue inapte ?
A celle la , je m'adapte
Oui ,j'ai 51a et je ris de presque tout
A la pitié
je préfère l'amitié
A l'humour
je joins l'amour
Et si aujourd'hui je tiens encore debout
C'est haut et fort que je dis
Merci la vie


Douchkay fevrier 2004
Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve une réalité

josie

Aujourd'hui un peu d'humour!!!

Héroisme au féminin

Journal intime d'une jeune femme en croisière aux Antilles :

     

> Jour 1

     > Je me prépare pour cette croisière splendide.

     > J'empaqueté mes vêtements.

     > Je suis toute excitée!!

>  

     Jour 2

     > Toute la journée en mer. Splendide !

     > J'ai vu défiler dauphins et baleines.

     > Quelles belles vacances !

     > Aujourd'hui j'ai rencontré le Capitaine, un bel homme, style Alain Delon

     20 ans + tôt.

>  

     Jour 3

     > Piscine. J'ai fait un peu de surf et tiré quelques balles de golf.

     > Le Capitaine m'a invitée à sa table pour dîner. C'était un honneur et

     j'ai passé un bon moment.

     > C'est un homme très attirant et attentionné, il a des yeux bleus

     magnifiques.

>  

     Jour 4

     > Je suis allée au casino du bateau et j'ai eu de la chance!

     > Le Capitaine m'a invitée à déjeuner dans sa cabine.

     > Repas somptueux avec caviar et champagne.

     > Il m'a demandé de passer l'après-midi dans sa cabine mais j'ai décliné

     l'invitation.

     > Je lui ai dit que je ne voulais pas être infidèle à mon époux.

>  

     Jour 5

     > Je suis retournée à la piscine puis j'ai décidé d'aller au piano bar et

     d'y passer le reste de la journée.

     > Le Capitaine m'a vue et m'a invitée à prendre un verre.

     > Réellement, c'est un homme charmant.

     > Il m'a demandé si je voulais passer à sa cabine cette nuit,

     > Je lui ai dit que non. Il m'a dit que si je ne changeais pas d'avis, il

     coulerait le bateau.

>  

     Jour 6

     > La nuit dernière, j'ai sauvé 1600 personnes... quatre fois !


Auteur inconnu
Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve une réalité

douce

#6
LA LEÇON DE COURAGE DE LAURENT MANUEL

Aujourd'hui trétraplégique, Laurent a décidé de consacrer son temps à l'enfance en détresse grâce à son association, Na Domu.

Expert en nouvelles technologies de l'information et de la communication, la vie de Laurent a basculé il y a six ans. Victime d'un terrible accident de la route, il est depuis paralysé du cou jusqu'aux pieds. Pour autant, pas question pour cet ancien chef d'entreprise de devenir un invalide passif devant sa télé! "Ce n'est pas tant du courage que le fait d'accepter les choses, tempère t-il, dans mon cas, il n'y a pas trente six alternatives, il m'a fallu admettre mon handicap pour aller de l'avant, comme je l'ai toujours fait!"

Son nouveau combat, il le livre en faveur des enfants en grande difficulté par le biais de son association, Na Domu ("chez nous" en polonais). "Le but de l'association est de créer une maison d'accueil pour les enfants orphelins ou en danger immédiat, explique Laurent Manuel, il y aura une quinzaine de lits fixes et cinq pour l'accueil d'urgence pour des enfants âgés de zéro à douze ans recueillis par nos soins et gardés jusqu'à leur majorité".

Même handicapé, j'ai le pouvoir de faire beaucoup de choses!" En tout cas, l'initiative mérite d'être saluée en espérant que le rêve de Na Domu devienne réalité.



douce

La chose la plus importante dans la vie

Aux Olympiades des handicapés, à Seattle, 9 athlètes, tous handicapés mentaux ou physiques, étaient sur la ligne de départ pour la course de 100 m. Au signalement du starter, la course commença. Tous ne courraient pas mais tous avaient le désir de participer et de gagner.

Ils couraient par 3, un garçon tomba sur la piste, fit quelques tonneaux et commença à pleurer. Les 8 autres l'entendirent pleurer. Ils ralentirent et regardèrent en arrière. Ils s'arrêtèrent et rebroussèrent chemin... Tous...

Une fille avec le syndrome de Down s'assis à côté de lui, commença à le caresser et lui demanda : "Ca va mieux maintenant ?" Alors, tous les 9 se prirent par les épaules et marchèrent ensemble vers la ligne d'arrivée.

Le stade entier se leva et applaudit. Et les applaudissements durèrent très longtemps...

Les personnes qui l'ont vu en parlent encore. Pourquoi ? Parce qu'au fond de nous, nous savons tous que la chose la plus importante dans la vie est bien plus que de gagner pour soi.

La chose la plus importante dans cette vie, c'est d'aider les autres à gagner. Même si cela implique ralentir et modifier notre course.

Alors, aujourd'hui, qui pourrais-tu aider à gagner ?

josie

- LA VIE -

Un jour, l'âne d'un fermier est tombé dans un puits.
L'animal gémissait pitoyablement pendant des heures,
et le fermier se demandait quoi faire.
Finalement, il a décidé que l'animal était vieux et
le puits devait disparaître de toute façon.
Ce n'était pas rentable pour lui de récupérer l'âne.
Il a invité tous ses voisins à venir et à l'aider.
Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à enterrer le puits.
Au début, l'âne a réalisé ce qui se produisait
et se mit à crier terriblement.
Puis, à la stupéfaction de chacun, il s'est tu.
Quelques pelletées plus tard, le fermier a finalement
regardé dans le fond du puits et a été étonné de ce qu'il a vu.
Avec chaque pelletée de terre qui tombait sur lui,
l'âne faisait quelque chose de stupéfiant.
Il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus.
Pendant que les voisins du fermier continuaient
à pelleter sur l'animal, il se secouait et montait dessus.
Bientôt, chacun a été étonné que l'âne soit hors du puits
et se mit à trotter!

La vie va essayer de vous engloutir de toutes sortes d'ordures.
Le truc pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer.
Chacun de nos ennuis est une pierre qui permet de progresser.
Nous pouvons sortir des puits les plus profonds
en n'arrêtant jamais...

Il ne faut jamais abandonner!
Secouez-vous et foncez!
Rappelez-vous les cinq règles simples!
Pour être heureux:

1. Libérez votre coeur de la haine.

2. Libérez votre esprit des inquiétudes.

3. Vivez simplement.

4. Donnez plus.

5. Attendez moins.

A ne jamais oublier, surtout dans les moments les plus sombres.


auteur inconnu
Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve une réalité

josie



Le p'tit bonheur

C'était un p'tit bonheur, que j'avais ramassé
Il était tout en pleurs, sur le bord d'un fossé.
Quand il m'a vu passer, il s'est mis à crier;
« Monsieur, ramassez-moi, chez vous amenez-moi;
Mes frères m'ont oublié, je suis tombé, je suis malade;
Si vous n'me cueillez point, je vais mourir, quelle balade!
Je me ferai petit, tendre et soumis, je vous le jure...
Monsieur, je vous en prie, délivrez-moi de ma torture. »
J'ai pris le p'tit bonheur, l'ai mis sous mes haillons;
J'ai dit:« Faut pas qu'il meure, viens-t'en dans ma maison. »
Alors le p'tit bonheur a fait sa guérison,
Sur le bord de mon coeur, y'avait une chanson.
Mes jours, mes nuits, mes pein', mes deuils, mon mal, tout fut oublié.
Ma vie de désoeuvré, j'avais dégoût d'la r'commencer.
Quand il pleuvait dehors ou qu'mes amis m'faisaient des scènes,
J'prenais mon p'tit bonheur et j'lui disais:
C'est toi ma reine. Mon bonheur a fleuri, il a fait des bourgeons.
C'était le paradis, ça se voyait sur mon front.
Or un matin joli que j'sifflais ce refrain,
Mon bonheur est parti, sans me donner la main.
J'eus beau le supplier, le cajoler, lui faire des scènes,
Lui montrer le grand trou qu'il me faisait au fond du coeur;
Il s'en allait toujours, la tête haute, sans joie, sans haine,
Comme s'il ne pouvait plus voir le soleil dans ma demeure.
J'ai bien pensé mourir, de chagrin et d'ennui;
J'avais cessé de rire, c'était toujours la nuit.
Il me restait l'oubli; il me restait l'mépris.
Enfin, que j'me suis dit:« Il me reste la vie. »
J'ai repris mon bâton, mes peines, mes deuils et mes guenilles,
Et je bats la semelle dans des pays de malheureux.
Aujourd'hui quand je vois une fontaine ou une fille,
Je fais un grand détour ou bien je me ferme les yeux.

Félix Leclerc
Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve une réalité

bbchaton


josie

Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve une réalité

kassis

Un moment de joie

Un taxi est appelé au domicile d'un client.

*Très tôt, je suis arrivé à l'adresse où on avait demandé un taxi. J'ai klaxonné mais personne n'est sorti. J'ai de nouveau klaxonné, rien. Donc j'ai marché jusqu'à la porte et ai frappé. "Un instant", a répondu la petite voix d'une vieille personne. Je pouvais entendre le son de quelque chose que l'on tirait sur le sol.
Après un long moment, la porte s'est ouverte. Une petite femme d'environ 90 ans se tenait devant moi. Elle portait une robe imprimée et un chapeau rond et plat avec une voilette épinglée dessus comme dans les films des années 40.

Près d'elle il y avait une petite valise en nylon. L'appartement semblait n'avoir pas été occupé depuis des années. Tous les meubles étaient recouverts de draps ...

Il n'y avait ni horloges aux murs, ni bibelots ou objets sur les étagères. Dans le coin, il y avait un carton rempli de photos et de verrerie.

"Pourriez-vous porter ma valise jusqu'à la voiture", dit-elle. Je pris la valise et la portai dans la voiture, puis, retournai aider la vieille dame. Elle pris mon bras et nous marchâmes lentement jusqu'au bord du trottoir. Elle n'arrêtait pas de me remercier pour ma gentillesse.
"Ce n'est rien, lui répondis-je, j'essaye seulement de traiter mes passagers comme je voudrais que ma mère le soit"...
" Oh, vous êtes un si gentil garçon, dit-elle".

Quand nous fûmes dans le taxi, elle me tendit une adresse, et me demanda, "Pourriez-vous passer par le centre-ville?".
Je dis rapidement : "Ce n'est pas le chemin le plus court", .
"Oh, cela m'est égal, dit-elle, je ne suis pas pressée, je vais dans un hospice".

Je jetai un coup d'oeil dans le rétroviseur. Ses yeux scintillaient. " Je n'ai plus de famille", continua-t-elle, "le docteur dit que je n'en ai plus pour bien longtemps". Je tendis la main et débranchai le compteur. "Quelle chemin voulez-vous que je prenne", lui demandai-je.

Pendant les deux heures qui suivirent, nous avons parcouru la ville. Elle me montra l'immeuble où elle avait travaillé comme employée d'ascenseur.
Nous avons parcouru les alentours, là où elle et son mari, jeunes mariés, avaient vécu. Elle me fit m'arrêter devant un magasin de meubles qui avait été une salle de bal où elle avait été danser, jeune fille.
Parfois, elle me demandait de ralentir devant un immeuble ou un endroit en particulier, et restait là à fixer l'obscurité sans rien dire.

Tandis que les premiers prémices de rayon de soleil striaient l'horizon, elle dit soudain "Je suis fatiguée. Allons-y maintenant.".

Nous roulâmes en silence vers l'adresse qu'elle m'avait donnée. C'était une longue construction basse, semblable à une maison de convalescence, avec une voie d'accès pour voitures vers un portique d'entrée.
Deux aide-infirmiers sortirent et se dirigèrent vers la voiture dès que nous nous arrêtâmes. Ils étaient déterminés et très attentifs, surveillant chacun de ses mouvements. Ils devaient l'attendre.

J'ai ouvert le coffre , ai porté la petite valise jusqu'à la porte. La dame était déjà installée dans une chaise roulante.

"Combien vous dois-je", demanda-t-elle, cherchant son porte-monnaie.
"Rien", lui répondis-je.
"Vous devez gagner votre vie", insista-t- elle.
Je lui affirmai : "Il y a d'autres passagers".
Presque sans y penser vraiment, je me penchai et la pris dans mes bras. Elle s'accrocha à moi.
"Vous avez donné un petit moment de joie à une vieille femme, dit-elle, merci".
J'ai serré sa main, puis ai marché dans la faible lumière matinale. Derrière moi, une porte se ferma. C'était le son d'une "fermeture, une fin de vie".
Je n'ai plus pris d'autres clients, cette fois. J'ai conduit sans but, perdu dans mes pensées. Et le reste de ce jour, je n'ai presque pas pu parler. Que serait-il arrivé si cette dame avait eu un conducteur grincheux, ou impatient de finir sa course? Que se serait-il passé si j'avais refusé cette course, ou n'avait klaxonné qu'une fois, et étais parti?

Après considération des faits, je ne pense pas avoir fait quelque chose de plus important dans ma vie. Nous sommes conditionnés à penser que nos vies tourne autour de grands moments, mais ces grands moments surviennent sans prévenir avec souvent l'apparence de n'être que ce les autres appelleraient de petits moments sans intérêt.

LES GENS NE SE SOUVIENNENT PAS EXACTEMENT DE CE VOUS AVEZ FAIT OU DIT, MAIS ILS SE SOUVIENDRONT TOUJOURS DE CE QUE VOUS LEUR AVEZ FAIT RESSENTIR.
L'amour véritable est l'unique voie de l'ascension qui est enseignée par tous les maîtres. Joéliah.
L'amour d'une mère pour son enfant ne connaît ni loi, ni pitié, ni limite. Il pourrait anéantir impitoyablement tout ce qui se trouve en travers de son chemin.

Energumene

#13
Un jour, une femme sort de sa maison et voit trois vieillards avec de longues barbes blanches, assis devant chez elle. Elle ne les reconnaît pas. Elle leur dit :
_"Je ne pense pas que je vous connaisse, mais vous devez avoir faim, s'il vous plaît, entrez et je vous donnerai quelque chose à manger ".
- ' Est-ce que les enfants de la maison sont là ? demandent-ils.
- ' Non, ils sont sortis ' leur répond-elle.
- ' Alors nous ne pouvons pas entrer '.
En fin d'après-midi, lorsque les enfants reviennent de l'école, la femme leur raconte son aventure avec les trois hommes.
- ' Va leur dire que nous sommes à la maison et invite-les à entrer '! Disent-ils à leur mère. La femme sort et invite les hommes à entrer dans la maison.
- ' Nous n'entrons jamais ensemble dans une maison ', répondent-ils.
Un des vieillards explique:
-' Son nom est 'Richesse', dit-il en indiquant un de ses amis et, en indiquant l'autre,
lui c'est Succès', et moi je suis 'Amour''.
Il ajoute alors,
- ' Retourne à la maison et discute avec ta famille pour savoir lequel d'entre nous vous voulez dans votre maison '.
La femme retourne à la maison et rapporte à  sa famille ce qui avait été dit.
- ' Comme c'est étrange '! S'exclament les enfants.
- ' Puisque c'est le cas, nous allons inviter Richesse'!
La mère n'était pas d'accord.
- ' Pourquoi n'inviterions- nous pas Succès? Votre père en aurait bien besoin dans ses affaires...'
La plus petite, Raffie, qui suçait encore son pouce, s'exprime à son tour :
- ' Veux mamours, veux mamours.... '
Les parents fondent devant tant de câlinerie enfantine et la mère sort  inviter 'Amour' à entrer...
'Amour' se lève et commence à marcher vers la maison. Les deux autres se lèvent aussi et le suivent. Étonnée, la femme demande à 'Richesse'  et Succès':
- ' J'ai seulement invité 'Amour'. Pourquoi venez vous aussi?
Les vieillards lui répondent ensemble :
- ' Si vous aviez invité 'Richesse' ou 'Succès', les deux autres d'entre  nous seraient restés dehors, mais vous avez invité 'Amour' et partout où il  va,nous allons avec lui, puisque partout où il y a de l'Amour, il y a aussi de la Richesse et du Succès'
MON SOUHAIT POUR TOI QUI ME LIT :
Où il y a de la douleur, je te souhaite la paix,
Où il y a le doute en toi, je te souhaite une confiance renouvelée
Où il y a la fatigue ou l'épuisement, je te souhaite la compréhension, la patience et la force...
Où il y a la crainte, je te souhaite l'amour et le courage.

Pour que le bonheur existe, il faut le  partager...

"LA VALEUR D'UNE PERSONNE SE MESURE TOUJOURS AU BONHEUR QU'ELLE DONNE AUX AUTRES"

PS: merci au petit démon qui me l'a fait parvenir  ;)
Ne fermons pas trop vite le livre du temps car à chaque page l'histoire peut changer ...


sendrillon

L'aide sous la pluie

Dans la soirée, vers 23h30, une femme âgée noire se tient le long d'une autoroute de l'Alabama tentant de se protéger de la pluie battante. Son auto est tombée en panne et elle a désespérément besoin d'un transport. Détrempée, elle décide de demander l'aide de la prochaine voiture qui passe. Un jeune homme blanc s'arrête pour lui porter secours, situation très peu courante dans les années 1960 troublées de conflits raciaux. Le jeune homme l'amène en sécurité, l'aide à trouver du secours et lui procure un taxi.

Elle a l'air très pressée, mais prend le temps de noter son adresse et le remercie.

Sept jours plus tard, on vient cogner à la porte du jeune homme. A sa grande surprise, on lui livre une télévision couleur grand format. Une note y est attachée. Elle dit :
"Merci beaucoup de m'avoir porté secours sur l'autoroute l'autre jour. La pluie avait transpercé non seulement mes vêtements mais aussi mon esprit. Puis vous êtes arrivé. Grâce à vous, j'ai pu me rendre au chevet de mon mari mourant juste avant qu'il ne rende l'âme. Dieu vous bénisse pour m'avoir aidé et pour votre dévouement pour les autres. Bien à vous, Mme Nat King Cole."
[Note de JM Bonheur : Nat King Cole est un pianiste de jazz très célèbre, décédé le 15 février 1965]



Ne méprisez la sensibilité de personne. La sensibilité de chacun, c'est son génie.

Marsu

Renseignements s.v.p.

Lorsque j'étais très jeune, mon père a eu l'un des premiers téléphones dans notre voisinage. Je me rappelle très bien la vieille boîte en bois, bien polie, fixée au mur et le petit récepteur noir, bien lustré, accroché sur son côté. J'étais trop petit pour atteindre le téléphone, mais j'étais habitué à écouter avec fascination ma mère lui parler.

Par la suite, j'ai découvert qu'en quelque part, dans ce merveilleux appareil, vivait une personne fantastique - son nom était "Renseignements SVP" et il n'y avait rien que cette personne ne savait pas. "Renseignements SVP" pouvait fournir le numéro de n'importe qui en plus de l'heure exacte.

Ma première expérience personnelle avec ce "génie dans une bouteille" s'est produite un jour où ma mère était partie chez une voisine. Je m'amusais au sous-sol et je me suis donné un violent coup de marteau sur un doigt. La douleur était terrible, mais il ne semblait pas y avoir de raisons pour que je crie... j'étais seul et personne ne pourrait m'entendre et me réconforter.

Je faisais les cent pas autour de la maison, en suçant mon doigt pour finalement arriver devant l'escalier... Le téléphone !!!! Rapidement, j'ai couru chercher le petit tabouret dans la cuisine et je l'ai traîné jusque devant le téléphone. Je suis monté dessus, j'ai décroché le combiné et l'ai placé contre mon oreille. "Renseignements SVP" dis-je dans le microphone, juste au-dessus de ma tête.

Un clic ou deux et j'entends une petite voix claire me dire: "Renseignements".

Je dis alors: "Je me suis fait mal au doigt".
"Est-ce que tu saignes ?" m'a demandé la voix.
Je lui réponds: "Non, je me suis frappé le doigt avec un marteau et ça fait très mal".
Elle me demande alors: " Peux-tu ouvrir la boîte à glace ?"
Je lui répondis que oui je pouvais.
"Alors, prends un petit morceau de glace et pose-le sur ton doigt" me dit-elle.

Après cette expérience, j'ai appelé "Renseignements SVP" pour n'importe quoi. Je lui ai demandé de l'aide pour ma géographie et elle m'a dit où se trouvait Montréal. Elle m'a aidé aussi avec mes mathématiques. Elle m'a dit que le petit écureuil, que j'avais trouvé dans le parc la journée précédente, devait manger des fruits et des noix.

Un peu plus tard, mon petit canari est mort. J'ai donc appelé "Renseignements SVP" et lui ai raconté ma triste histoire. Elle m'a écouté attentivement et m'a dit les choses usuelles qu'un adulte dit pour consoler un enfant, mais j'étais inconsolable. Je lui ai demandé: "Pourquoi les oiseaux chantent si merveilleusement et procurent tellement de joie aux familles seulement pour finir comme un tas de plumes dans le fond d'une cage ?"

Elle a probablement ressenti mon profond désarroi et me dit alors, d'une voix si calme: "Paul, rappelle-toi toujours qu'il existe d'autres mondes où on peut chanter". D'une certaine façon, je me sentais mieux. Une autre fois que j'utilisais le téléphone "Renseignements SVP", "Renseignements" me répondait la voix, maintenant devenue si familière. Je lui demande alors: "Comment épelez-vous le mot réparation ?".

Tout ça se passait dans la ville de Québec. Quand j'ai eu 9 ans, nous sommes déménagés sur la Côte nord, à l'autre bout de la province. Je m'ennuyais terriblement de mon amie. "Renseignements SVP" appartenait à cette vieille boîte en bois de notre maison familiale, et, curieusement, je n'ai jamais songé à utiliser le nouvel appareil téléphonique étincelant, posé sur une table, dans le corridor, près de l'entrée.

Même à l'adolescence, les souvenirs de ces conversations de mon enfance ne m'ont jamais quitté. Souvent, lors des moments de doute et de difficultés, je me rappelais ce doux sentiment de sécurité que j'avais à cette époque. J'appréciais maintenant la patience, la compréhension et la gentillesse qu'elle avait pour consacrer de son temps à un petit garçon.

Quelques années plus tard, alors que je me dirigeais au Collège, à Montréal, mon avion devait faire une escale à Québec. J'avais près d'une demi-heure entre le transfert d'avion. J'ai donc passé 15 minutes au téléphone avec ma soeur, qui vit toujours à Québec. Ensuite, sans penser vraiment à ce que je faisais, j'ai composé le "0" et j'ai demandé: "Renseignements SVP". Miraculeusement, j'entendis alors cette même petite voix claire que je connaissais si bien: "Renseignements".

Je n'avais rien prévu de tout ça, mais je m'entendis lui dire: "Pouvez-vous m'aider à épeler le mot "réparation ?". Il y a eu un long moment de silence. Ensuite, j'entendis une voix si douce me répondre:

"Je suppose que ton doigt doit être guéri maintenant."
Je me mis à rire et lui dit: "C'est donc toujours vous ?".

Je lui dis: " Je me demande si vous avez la moindre idée comme vous étiez importante pour moi pendant toutes ces années".

"Je me demande, dit-elle, si tu sais combien tes appels étaient importants pour moi. Je n'ai jamais eu d'enfants et j'étais toujours impatiente de recevoir tes appels".

Je lui ai dit comment, si souvent, j'ai pensé à elle au cours de ces dernières années et je lui ai demandé si je pouvais la rappeler, lorsque je reviendrais visiter ma soeur.

"Je t'en prie, tu n'auras qu'à demander Sally" me répondit-elle.

Trois mois plus tard, alors que j'étais de nouveau à Québec, une voix différente me répondit "Renseignements". J'ai donc demandé à parler à Sally. "Êtes-vous un ami ?" me demanda la voix inconnue. Je lui répondis: "Oui, un vieil ami". J'entendis la voix me dire: "Je suis désolé d'avoir à vous dire ça, Sally ne travaillait plus qu'à temps partiel ces dernières années parce qu'elle était très malade. Elle est morte il y a 5 semaines déjà".

Avant même que je n'aie le temps de raccrocher, elle me dit: "Attendez une minute. M'avez-vous dit que votre nom était Paul? " Je répondis "Oui". "Eh bien, Sally a laissé un message pour vous. Elle l'a écrit, au cas où vous appelleriez. Laissez-moi vous le lire". Ce message disait: "Dites-lui que je crois toujours qu'il y a d'autres mondes où on peut chanter. Il saura ce que je veux dire".

Je lui dis donc merci et raccrochai. Je savais ce que Sally voulait dire...

Auteur inconnu.

molotov


Un jour après m'être garé, je fermais ma voiture. En m'en éloignant, j'entendais que la porte se déverrouillait. J'y retournais et je la verrouillais à nouveau, j'ai dû le faire trois fois. Chaque fois dès que je m'éloignais de ma voiture, j'entendais la serrure se déverrouiller !! Comme j'étais alerté par cette bizarrerie, je regardais autour de moi et je voyais deux gars assis dans une voiture pas loin de là. Il était évident qu'ils me surveillaient intentionnellement et il était hors de doute qu'ils étaient impliqués dans cette situation très bizarre. J'ai immédiatement laissé tomber la course que je m'apprêtais à faire, j'ai sauté dans ma voiture et j'ai démarré. Je suis allé aussitôt au commissariat de police pour leur raconter ce qui s'était passé. J'y ai appris que j'étais victime d'un tout nouveau procédé, très au point, permettant de s'introduire dans les voitures garées. Deux semaines après, le fils d'un de mes amis a vécu une situation identique .... Le fils de mon ami s'est arrêté sur un aire de repos pour aller aux toilettes. Lorsqu'il est revenu auprès de sa voiture - moins de 4 minutes plus tard - quelqu'un s'y était introduit et avait volé son portable, son ordinateur portable, son navigateur GPS, son attaché-case......etc. Il a appelé la police et comme il n'y avait pas de signes de cambriolage démontrant que la porte avait été forcée, la police l'a informé qu'il venait d'être victime de la toute dernière tactique de vol -- il y a notamment un appareil que les voleurs utilisent aujourd'hui qui permet de clôner votre code de sécurité au moment où vous verrouillez vos portes de voiture avec votre clé de fermeture à distance.. Les voleurs se trouvent à quelques pas de là et ils attendent leur prochaine victime. Ils savent que vous allez entrer au magasin, au restaurant ou aux toilettes et qu'ils disposent de quelques minutes pour effectuer leur vol avant de s'enfuir. L'agent de police a dit de verrouiller vos portes MANUELLEMENT - en faisant marcher le bouton de verrouillage à l'interieur de la voiture. Lorsqu'en quittant votre voiture, vous faites actionner le bouton de verrouillage intérieur, le code de sécurité n'est pas envoyé dans les ondes. En revanche, si vous vous éloignez de votre voiture et vous
verrouillez les portes en utilisant votre clé de verrouillage à distance, le code est envoyé dans les ondes et peut instantanément être clôné et volé..
Ceci est un fait très réel. Soyez bien conscient de ce que vous venez de lire et transférez SVP le message.
la vie est un court métrage
assez court mais trash
à la kourtajmé, on court avec la rage mais
on se goure à s'étendre tels des taches sans jouer les taspés
on a des gros plans sur des plans parfoits marrants
ou décevant suivant le synopsis qui se transform en faux plan

sur la grande to

josie

Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve une réalité

touraan

#18
Deux hommes,tous deux gravement malades,occupaient la même chambre d'hôpital. L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons.

Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre devait passer ses journées couché sur le dos. Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures.

Ils parlaient de leur épouse et famille,décrivaient leur maison,leur travail,leur participation dans le service militaire et les endroits ou ils allaient en vacances.

Et chaque après midi,quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir,il passait son temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors.

L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure ou son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.

De la chambre,la vue donnait sur un parc et un beau lac.Les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux modèles réduits. Les amoureux marchaient bras dessus,bras dessous,parmi des fleurs aux couleurs de l'arc en ciel. de grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin ,la ville se dessiner.

Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails,l'homme de l'autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait cette scène pittoresque.

Lors d'un bel après midi,l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre,il pouvait le voir avec les yeux de son imagination,tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante!

Les jours et les semaines passaient. Un matin,à l'heure du bain,l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre,mort paisiblement dans son sommeil. Attristée,elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.

Dès qu'il sentit le temps approprié,l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à côté de la fenêtre. L'infirmière,heureuse de lui accorder cette petite faveur,s'assura de son confort,puis elle le laissa seul.

Lentement,péniblement,le malade se souleva un peu,en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'oeil dehors. Enfin,il aurait la joie de voir par lui même ce que son ami lui avait décrit.Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit.

Or tout ce qu'il vit, fut un mur.
L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre lui avait dépeint une toute autre réalité.L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur." peut-être a t'il seulement voulu vous encourager..." commenta t'elle.

Epilogue

Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux en dépit de nos propres épreuves! La peine partagée réduit de moitié la douleur mais le bonheur,une fois partagé,s'en trouve doublé!

twingo

COMMENT RESTER EN SANTÉ :

1. Ne vous occupez pas de chiffres non nécessaires.
Ceci inclut l'âge, le poids, le taux de cholestérol, la pression et la taille.
Laissez le docteur s'en préoccuper, c'est la raison pour laquelle on paie l'assurance maladie !

2.Ne conservez que les amis joyeux ! Les grincheux vous démoralisent.

3.Continuez à apprendre.
Apprenez toujours plus au sujet des ordinateurs, de l'artisanat, du jardinage ou autre.
Ne laissez jamais votre cerveau au repos.
Un cerveau au repos est l'atelier du diable.
Et le nom du diable est Alzheimer !

4.Amusez-vous de choses simples.

5.Riez souvent, longtemps et fort.

Riez jusqu'à ce que vous n'ayez plus de souffle et que vos larmes coulent.

6.Si vous avez une grosse peine, pleurez un bon coup, séchez vos larmes et continuez votre chemin.
La seule personne qui vous accompagne pour la vie est vous-même.
Soyez VIVANT tout au cours de votre vie.

7.Entourez-vous de choses que vous aimez: les animaux domestiques, des collections, de la musique, plantes, passe-temps ou autre.

8.Prenez soin de votre santé :
Elle est bonne, conservez-la
Elle est instable, améliorez-la
Vous n'en avez plus le contrôle, allez chercher de l'aide.

9.Ne voyagez pas dans le temps vers la culpabilité.
Voyagez jusqu'au centre d'achats, vers la campagne, vers le pays voisin mais jamais où vous rencontrerez la culpabilité.

10.Dites à ceux que vous aimez que vous les aimez, à chaque occasion.

ET SOUVENEZ-VOUS :


La vie ne se mesure pas par le nombre de respirations prises mais par le nombre de moments qui nous ont coupé le souffle

josie

LE BILLET DE 100 Frs.

Un conférencier bien connu commence son séminaire en tenant
bien haut un billet de 100 frs.

Il demande aux gens :

"Qui aimerait avoir ce billet ?"

Les mains commencent à se lever, alors il dit :

"Je vais donner ce billet de 100 frs à l'un d'entre vous mais
avant laissez-moi faire quelque chose avec."

Il chiffonne alors le billet avec force et il demande :

"Est-ce que vous voulez toujours ce billet ?"

Les mains continuent à se lever.

"Bon, d'accord, mais que se passera-t-il si je fais cela."

Il jette le billet froissé par terre et saute à pied joints dessus,
l'écrasant autant que possible et le recouvrant des poussières du
plancher.

Ensuite il demande :

"Qui veut encore avoir ce billet ?"

Évidemment, les mains continuent de se lever !

"Mes amis, vous venez d'apprendre une leçon... Peu importe ce
que je fais avec ce billet, vous le voulez toujours parce que sa
valeur n'a pas changé, il vaut toujours 100 frs."

"Alors pensez à vous, à votre vie. Plusieurs fois dans votre vie
vous serez froissé, rejeté, souillé par les gens ou par les
événements.

Vous aurez l'impression que vous ne valez plus rien mais en
réalité votre valeur n'aura pas changé aux yeux des gens qui
vous aiment !

La valeur d'une personne ne tient pas à ce que l'on a fait ou
pas, vous pourrez toujours recommencer et atteindre vos objectifs car votre valeur intrinsèque est toujours intacte."

Auteur inconnu
Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve une réalité

touraan

Un homme et son chien marchaient le long d'une route. L'homme admirait le paysage quand tout à coup il réalisa qu'il était mort. Il se rappela sa mort et réalisa que son chien aussi était mort depuis des années. Il se demandait où le chemin les amènerait.

Après un moment, ils approchèrent d'une grosse roche blanche. Elle ressemblait à une bille. Rendu au sommet, il vit qu'elle était fendue et qu'une lumière en jaillissait.
Quand il s'approcha, il vit une route en or pur et une magnifique entrée. L'homme et son chien marchèrent jusqu'à la porte. Au fur et à mesure qu'ils approchaient, l'homme vit un autre homme assis à une table. Quand il fut assez proche, il demanda à l'homme :
"Où sommes-nous?"
-"Vous êtes au paradis monsieur"
-"Wow! Est-ce que vous auriez de l'eau?"
-"Bien sûr! Entrez, je vais vous faire venir de l'eau froide dans  un instant."
L'homme fit quelques gestes et la porte ouvrit.
-"Est-ce que mon chien peut entrer?" demanda-t-il en pointant le chien.
-"Désolé monsieur, mais nous n'acceptons pas les animaux." L'homme réfléchit et décida de reprendre le chemin.

Après une longue marche, au sommet d'une colline, il croisa une route de terre qui le mena à une porte de grange qui avait l'air de n'avoir jamais été fermée. Il n'y avait pas de clôture.  Alors qu'il s'approchait, il vit un homme appuyé sur un arbre qui lisait un livre.
-«Excusez moi monsieur, est-ce que vous avez de l'eau?
-"Bien sûr, il y a une pompe un peu plus loin."
Il pointa plus loin mais on ne voyait rien.
-"Venez à l'intérieur , je vous la montre"
-"Est-ce que mon ami peut venir?
-"Bien sûr, il doit y avoir un bol près de la pompe"
Ils traversèrent la porte et virent une vieille pompe avec un bol à ses côtés. L'homme rempli le bol, prit une gorgée et donna le reste au chien. Quand ils eurent fini, ils retournèrent voir l'homme qui était toujours près de l'arbre.

-"Comment appelez-vous cet endroit?"
-"Mais c'est le paradis"
-"C'est mêlant. L'homme que nous avons rencontré un peu plus tôt a dit la même chose.
"-"Ah! Vous parlez du chemin en or et de la porte en perle? Non, ça c'est l'enfer"
-"Mais ça ne vous fâche pas qu'ils utilisent votre nom comme ça?"
-"Non, mais je comprends que vous me posiez la question. Nous sommes seulement contents qu'ils attirent les gens qui laissent leurs amis derrière."

josie

- Pensez toujours à ceux qui servent.

À l'époque où un sundae de crème glacée coûtait beaucoup moins, un petit garçon de 10 ans entre dans le café d'un hôtel et s'assoit à une table. Une serveuse dépose un verre d'eau devant lui. " C'est combien pour un sundae de crème glacée ? " demande-t-il. " 50 cents " répond la serveuse. Le petit garçon sort la main de sa poche et se met à examiner la monnaie qu'elle contient. " Bien, comment pour un simple plat de crème glacée? " demande-t-il. À ce moment il y a des gens qui attendent pour une table et la serveuse commence à perdre patience. " 35 cents " répond-elle sèchement. "Je vais prendre le plat de crème glacée " dit-il. La serveuse lui apporte sa crème glacée, dépose l'addition sur la table et s'en retourne. Le garçon finit sa crème glacée, paie à la caisse et s'en va. Quand la serveuse revient, elle a la larme à l'oeil en nettoyant la table. Bien placé au côté du plat vide, il y a 15 cents . Le petit garçon ne pouvait pas prendre le sundae parce qu'il devait lui restait suffisamment de monnaie pour laisser un pourboire.


trouver sur le net
Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve une réalité

josie

   Un petit "Conte" avant Noël... sur l'amour et le temps...


Il était une fois une île où toutes les différentes qualités humaines et sentiments vivaient : le Bonheur, la Tristesse, le Savoir, ainsi que tous les autres, l'Amour y compris. Un jour, on annonça aux sentiments que l'île allait couler. Ils préparèrent donc tous leurs bateaux et partirent. Seul l'Amour resta. L'Amour voulait rester jusqu'au dernier moment.

    Quand l'île fut sur le point de sombrer, l'Amour décida d'appeler à l'aide. La Richesse passait à côté de l'Amour dans un luxueux bateau. L'Amour lui dit : "Richesse, peux-tu m'emmener ?" "Non, car il y a beaucoup d'argent et d'or sur mon bateau. Je n'ai pas de place pour toi". l'Amour décida alors de demander à l'Orgueil, qui passait aussi dans un magnifique vaisseau : "Orgueil, aide moi, je t'en prie !" "Je ne puis t'aider, Amour, tu es tout mouillé et tu pourrais endommager mon bateau". La Tristesse étant à côté, l'Amour lui demanda: "Tristesse, laisse moi venir avec toi" "oh...Amour, je suis tellement triste que j'ai besoin d'être seule !" Le Bonheur passa aussi à côté de l'Amour, mais il était si heureux qu'il n'entendit même pas l'Amour l'appeler.

    Soudain, une voix dit "viens, Amour, je te prends avec moi !" C'était un vieillard qui avait parlé. L'Amour se sentit si reconnaissant et plein de joie qu'il en oublia de demander son nom au vieillard. Lorsqu'ils arrivèrent sur la terre ferme, le vieillard s'en alla. L'Amour réalisa combien il lui devait et demanda au Savoir : "Qui m'a aidé ?"

    "C'était le Temps", répondit le Savoir. "Le Temps ?" s'interrogea l'Amour, "Mais pourquoi le Temps m'a-t'il aidé ?" Le Savoir sourit plein de sagesse et répondit :

    "C'est parce que seul le Temps est capable de comprendre combien l'Amour est important dans la Vie".

Auteur inconnu
Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve une réalité

kassis

QUE VOUDRAIS-TU FAIRE QUAND TU SERAS GRAND?

Une mère de 26 ans était très pensive en regardant son fils qui se mourait de leucémie terminale. Même si son cœur était abattu par la tristesse, elle conservait un grand sens de détermination. Comme toutes les mères elle souhaitait que son fils croisse et réalise tous ses rêves. Mais maintenant cela n'était plus possible pour son fils. La leucémie ne le lui permettrait pas.

Mais même ainsi, elle voulait que les rêves de son fils se réalisent. Elle prit la main de son fils et lui demanda:

Billy, as-tu déjà pensé à ce que tu aimerais être quand tu grandiras?
As-tu rêvé et pensé parfois à ce que tu ferais de ta vie?

Maman, j'ai toujours voulu être un pompier quand je serais grand.

La mère sourit et dit: Voyons si nous pouvons faire de ton rêve une réalité.

Plus tard ce jour-là, elle se rendit au Poste de Pompiers de Phœnix, Arizona.

Là elle connût le Pompier Bob, un homme avec un cœur grand comme Phœnix. Elle lui expliqua le dernier désir de son fils et lui demanda s'il était possible de donner a son fils de six ans une promenade autour du carré de maisons dans un camion de pompiers.

Le Pompier Bob dit:

Voyez madame, nous pouvons faire quelque chose de mieux que cela. Que votre fils soit prêt mercredi, à sept heures du matin exactement et nous le ferons Pompier Honoraire durant toute la journée. Il peut venir ici à la station avec nous, manger avec nous, sortir avec nous quand nous recevrons des appels pour incendies sur tout notre territoire. Et si vous nous donnez ses mesures, nous aurons pour lui un véritable uniforme de pompier avec un vrai chapeau qui portera l'emblème de la Station de Pompiers de Phœnix, non pas un jouet, mais l'emblème jaune que nous portons et il aura aussi ses bottes de caoutchouc. Tout cela est fait ici à Phœnix, ainsi ce sera facile de l'avoir assez rapidement.

Trois jours plus tard le Pompier Bob alla chercher Billy, il lui mit son uniforme de pompier et il le conduisit de son lit d'hôpital jusqu'au camion-pompe. Billy dût s'asseoir à l'arrière du camion et aider à conduire durant le trajet de retour à la station. Il se croyait au ciel. Il y eut trois appels ce jours-là à Phœnix et Billy a dû sortir pour les trois appels. Il y alla dans trois camions différents.

Il est revenu dans le mini-bus paramédical et aussi dans l'auto du Chef des Pompiers. Ils filmèrent l'évènement pour les nouvelles locales de la télévision. Ayant réalisé son rêve et avec tout l'amour et l'attention qui lui furent donnés, Billy fut touché si profondément qu'il réussit a vivre trois mois de plus que ce dont n'importe quel médecin pensait qu'il vivrait.

Une nuit, tous les signes vitaux commencèrent à faiblir de façon dramatique et l'infirmier en chef, qui croyait dans l'idée hospitalière que personne de doit mourir étant seul, commença à appeler les membres de la famille pour qu'ils viennent à l'hôpital.

Ensuite, il se souvint du jour que Billy avait vécu comme s'il était un pompier et il appela le Chef de la Station et lui demanda si c'était possible qu'il envoie à l'hôpital un pompier en uniforme pour qu'il soit avec Billy quand il rendrait l'âme.

Et le Chef lui dit:

Nous ferons quelque chose de mieux. Nous serons là dans cinq minutes. Vous pouvez me faire une faveur? Quand vous entendrez sonner les sirènes et verrez clignoter les lumières, avertissez dans les haut-parleurs qu'il n'y a pas d'incendie, mais que le Département des pompiers vient visiter une fois de plus un de ses plus importants membres. Et s'il-vous-plaît ouvrez la fenêtre de sa chambre.

Cinq minutes plus tard, un camion de pompier arriva à l'hôpital avec un crochet et un escalier télescopique qui se levèrent jusqu'au troisième étage où était la fenêtre ouverte de la chambre de Billy et 16 pompiers montèrent dans la chambre de Billy. Avec la permission de sa maman, chacun d'eux l'embrassa et le berça lui disant qu'il l'aimait.

Billy regarda le Chef des Pompiers et de sa voix d'agonisant lui demanda: CHEF, SUIS-JE MAINTENANT UN VRAI POMPIER?

Le chef lui répondit: OUI BILLY, TU L'ES.


A ces mots Billy sourit et ferma les yeux pour la dernière fois.
L'amour d'une mère pour son enfant ne connaît ni loi, ni pitié, ni limite. Il pourrait anéantir impitoyablement tout ce qui se trouve en travers de son chemin.