Nouvelles:

Nouvelle version 2024 du forum installée  !

Menu principal

Devinette rime avec Endormi

Démarré par endormi, 27 Mars 2006 à 14:47:57

« précédent - suivant »

endormi

Tout d'abord, je tiens à dire :
- Bienvenue aux nouveaux-venus et aux nouvelles-venues ! (eh oui, aucun acrostichien ou acrostichienne n'a jamais pensé à dire une phrase qui me paraît tant plaisante et accueillante)
- Au revoir aux vendeurs de rasoirs ! (eh oui, j'ai pris la décision de laisser pousser ma barbe pour tenter de reconquérir ma Sarah bien-aimée, ma neuvième ex-future-actuelle épouse en neuf ans après Claudia en 1998, Angéla en 1999, Monica en 2000, Maria en 2001, Eva en 2002, Clara en 2003, Anna en 2004 et Patricia en 2005, de peur que Claude François ne le fasse lui-même avant moi après sa résurrection)
- Bonjour à mes prochains amours ! (eh oui, je ne tiendrai pas à rester seul pendant ses journées de travail car j'ai appris il y a quelques jours qu'elle vient juste d'ouvrir une boutique de pommade pour les boutons)
- Bonsoir aux vendeurs de peignoirs ! (eh oui, les neuf amours que j'ai possédées, avec qui j'ai eu un enfant chacun mais malheureusement pas encore avec ma Sarah, ne trouvaient jamais mon peignoir le plus neuf à leur goût donc chaque amour m'a dépensé un peignoir ce qui m'en fait huit dans ma garde-robe, car ma Sarah n'a même pas eu le temps de m'en payer un qu'elle m'a déjà quitté ; j'ai d'ailleurs prévu d'ouvrir une boutique de peignoirs à côté de celle de ma bien-aimée jusqu'au jour où nous resterons définitivement ensemble)
- Salut à Manu ! (eh oui, j'attends avec impatience mon neuvième enfant de la part de ma Sarah, il ne faudrait pas qu'elle oublie d'acheter également des tutus à Manu)
- Adieu à Dieu ! (eh oui, je n'ai jamais eu de chance dans la vie, ni au jeu ni en amour, alors que je vais à la messe tous les dimanches et que je récite toujours ma prière avant de dormir, c'est pourquoi je ne crois pas en Dieu)
- A la prochaine à Phenomene ! (eh oui, Phenomene est le grand seigneur acrostichien, que je respecte et que j'apprécie, il remplace Dieu pour moi)

Puisque tant d'acrostichiens et acrostichiennes se posent tant de questions sur ma vraie vie et aimeraient en savoir plus que ces quelques informations, je vais écrire pour vous un extrait de ma vie, il s'agira pour vous d'en deviner la suite et aussi le rôle auquel je joue en utilisant les mêmes critères que moi c'est-à-dire en utilisant le plus possible le son [é] en fin de mot (avec : é, és, ée, ées, ais, ait, aient) ou des petits mots (par exemple : et, des, les, ses, ces).
Mais attention, il faut que vos phrases gardent un sens et correspondent à mon histoire.
Chaque participant qui écrira 1 élément vrai de ma vie dans sa suite aura gagné une pièce d'un centime d'ancien franc (celle-ci sortira de votre lecteur de cd de votre ordinateur automatiquement)

Mémé payait les frais de Pépé, Pépé regardait la télé couché sur le canapé dans la salle à manger en buvant son thé.
Mémé s'est querellée avec Pépé des années et des années peut-être jusqu'à l'éternité.
René, leur premier bébé, craignait les fessées de Mémé, énervée et presque enragée...

 rené apré sarah courè
Mais sans jamé la ratrapé
Elle dit "petit coucouche panié
jamé jamé je t'pouseré
toré p'tet du resté couché
ds la nuit toré eu une idée!

josami

 René était désespéré. Sans regrets sa fée venait de lui assener un « jamais ». Hanté, il alla pleurer chez pépé et mémé. Du thé pour le consoler, du bain beurré puis du café, c'était pas assez. René pleurait sans arrêt. Affalé sur le canapé il regardait aussi la tévé. Mais mémé voulait payer que les frais de pépé, pas de rené. Coups de pieds au fessier, sans arrêt, fallait s'activer. Fin mai, après manger, il décida de se calmer. Soigné par les tétées de mémé, et bé c'est réglé : rené c'est qu'un bébé. Corvées sans fée, pets de mémé, pitié de pépé, c'est ainsi fait.

The_Best

  Un bain beurré ? L'était bourré l'René ? lollll

Modifié par The_Best le 28/03/2006 19:50:49
Si ceux qui disent du mal de moi savaient exactement ce que je pense d'eux, ils en diraient bien davantage... (Sacha Guitry)